Un arma al corazon

40| funeral

Le lendemain matin 11h

Maison de Naha

Malheureusement ce jour est arriver, le jour que je redoute tant depuis que j'ai appris la mort de ma sœur jumelle, le jour de son enterrement...

Hier soir Alejandro m'a prévenu que l'on devait faire l'enterrement de ma sœur au plus vite afin que nous nous en allons le plus rapidement possible.

Et je le comprend totalement car plus je reste au Mexique plus je cour le risque que Santiago et Alesio découvre que je ne suis pas morte.

Et si ils s'en s'aperçoivent l'effet de surprise de notre vengeance sera complètement morte et nous échouerons.

C'est notre seul chance de réussir...

La seule chance de venger l'honneur de la sœur

***

Quelques heures plus tard

Quelqu'un vient de toquer à la porte de ma chambre.

Enfin ma chambre ont va plus dire la chambre de chez ma sœur que je squat depuis hier soir.

En ouvrant la porte de remarque que c'est Alejandro.

Il est habillé tout en noir et c'est rare de lui, il n'aime pas le noir, il est toujours habillé en blanc, beige ou des couleurs claire et flash.

Ce qui d'ailleurs sans vous mentir lui vas très bien au teint.

En plus de sa il m'a l'air pas bien.

Je sais très bien qu'il ne va pas se confier à moi. Surtout sur la mort de ma sœur.

Je suppose qu'il doit se dire qu'il a peur de m'en parler par ce que il doit se dire que sa peine n'est rien comparé à la peine que moi je ressent.

Mais j'aimerais qu'il me parle, qu'il se confie à moi...

Ma sœur et Alejandro était très proche et je le sais.

Il l'a toujours vue comme sa petite sœur qu'il n'a jamais eu.

- Sa va être l'heure.

Alejandro coupe le lourd silence de la pièce avec cet phrase.

Cet phrase que j'aurais voulu qu'il ne prononce jamais.

J'hoche la tête, Complètement incapable de répondre.

Je sent mes larmes monter et perler au coins de mes yeux.

Je baisse alors instinctivement la tête pour éviter qu'il me voit pleurer.

Je le sent s'approcher un peu plus de moi.

Puis ses doigts sur mon menton remonte doucement ma tête vers ses magnifiques yeux sombres.

Il me regarde avec regard indescriptible, tellement puissant.

- Si tu ne te sent pas encore prête, je peut faire en sorte de repousser de quelques heures.

Je secoue négativement la tête.

Pour lui faire comprendre que cava aller.

Mais je n'arrive pas à prononcer un seule mots, ma gorge est nouée.

Il me prend dans ses bras sans doute pour me rassurer. Je resserre un peu plus fort mon entretîntes autours de ses hanches.

J'ai l'impression qu'il me transmet son courage à travers son câlin.