Un arma al corazon

27| muerto

3.jours plus tard

Sa fait trois jours que je suis attaché.

au moins il ont rallonger mes chaînes.

je me fait torturer physiquement sa fait trois jours.

il m'ont frapper, il m'ont saigner sur tout le corps, et il m'a brûler avec un fer chaud contre mon corps.

Et Il m'a dit que je ne méritait que sa pour lui avoir prit son organisation.

Je sais très bien qu'il veut me tuer lentement, il veut me faire souffrir et on dirais que sa technique marche bien par ce que j'ai atrocement mal.

***

Quelques heure plus tard

Je suis assise par terre a bout de force quand j'entends la porte de cet entrepôt s'ouvrir je relève la tête vers la personne qui vient de rentrer et je me rend compte que c'est Alesio.

Je le dévisage du regard avant d'essayer de me redresser pour paraître « moins faible » mais c'est peine perdu je n'ai plus de force mon corps ne trouve même plus la force pour me relever.

Sans me regarder il me dit.

- Santiago arrive.

Je ne lui répond pas.

Il vient s'asseoir en face de moi pour me prendre en photo.

Je ne comprends pas pourquoi il me prend en photo mais je ne vais pas lui demander de toute façon je ne suis plus à sa près.

J'entends de nouveau la porte de cet entrepôt de merde s'ouvrir et la c'est Santiago il prend lui aussi une chaise pour venir ce mette en face de moi.

Comme à son habitude il me dit.

- Bonjour Isabella tu va bien ?

Il sait que sa m'énerve que mon nom sorte de sa bouche.

- Arête de m'appeler par mon prénom !

je ne supporte pas que l'on m'appelle par mon vrai prénom, parce que je ne suis plus cette personne.

Cette personne est morte quand mon père est mort.

il me répond d'un ton nonchalant.

-Oui Oui bref , j'ai plein de choses à te dire.

Je le dévisage et lui continue toujours de me regarder.

Il recommence à parler pour me dire.

- Alors Isabella, j'ai plein de choses à t'avouer déjà pour commencer. Tu vois la personne qui est assis à côté de moi ?

Je détourne les yeux de lui pour regarder Alesio pendant que lui continue de parler.

- bah c'est mon frère.

Non c'est pas possible, parce que si ils sont frères bah Alejandro et Santiago sont aussi frère ce qui expliquerait pourquoi il n'a pas voulu me dire pour Alesio.

Il continue toujours de parler.

- donc, moi et Alejandro aussi, sommes frères
Alejandro, contrairement à Alesio ne m'a jamais aimé et moi d'ailleurs je ne l'aime pas non plus.

Il marque une petite pause dans son discours avant de continuer.

- Lui n'était pas un traître, contrairement à mon frère ici présent, si tu aurais fait preuve d'un minimum d'intelligence et essayer de parler un minimum avec ton second, tu ne serais assis est attaché aujourd'hui en face de moi.

J'ai été extrêmement bête comment j'ai pu me faire avoir autant facilement le pire dans tout ça c'est que juste avant que je vire Alejandro il a voulu essayer de me parler mais je l'ai repoussé.

Je le voyais comme un traître pour m'avoir caché une aussi petite chose et maintenant je comprends pourquoi il me l'a caché, il redouter le moment où j'allais apprendre que c'est aussi le frère de Santiago.

Santiago continue de parler.

- C'est pas la chanson ce que tu veux savoir
Isabella j'ai aussi une autre chose à t'annoncer qu'il va pas du tout te plaire Maria est morte.

Je n'y crois pas, c'est pas possible Il m'a annoncé ça sur un tond que l'on voyez que il y en avait totalement rien à foutre de m'annoncer ça

En voyant que je le crois pas il me dit.

- Je l'ai tué, il y a quelques temps un tout petit peu après que tu sois devenu chef de Los-Zetas ça n'a pas été compliqué, elle avait confiance en moi. Il m'a suffit de simplement l'empoisonner.
Et là j'ai vu qu'il ne me mens pas mes larmes ont commencé à couler seul, sans que je me rende compte.

Ma sœur et la seule personne qui me retenait sur cette terre, si elle n'est pas là, ça sert à rien que je reste en vie.

En me disant ça, il m'a achevé, j'ai compris son jeu il veut me faire souffrir physiquement et mentalement et ça marche en me disant ça il m'a tuer.

Il remarque que je vais atrocement mal autant physiquement que mentalement.

Déjà physiquement j'ai du sang séché partout sur mon corps, des traces de brûlure et de coupure sur l'entièreté de mon corps.

Et mentalement ça se voit aussi que je vais très mal parce que tout simplement je suis en train de pleurer.

Et là il me dit.

-aujourd'hui, tu vas mourir je t'ai fait assez souffrir et je suis plus que impatient d'avoir le monopole sur toute l'Amérique du Sud.

J'en ai rien, a foutre de mourir, c'est bien la seule chose que je veux aujourd'hui même si j'aurais préféré avoir une mort plus belle parce que mourir attaché après avoir été torturé pendant des jours, ce n'est pas une belle mort.

Toujours en me regardant dans les yeux, il sort son arme et braque ma tête avec, et là j'ai compris que c'était la fin que c'était ma fin.

Il me demande.

- Un dernier mot avant de mourir ?

Je ne veux même pas parler, je n'ai plus la force je veux juste mourir, alors je secoue la tête négativement.

- Tu sais quoi c'est pas moi qui va t'achever.

Bah c'est qui si ce n'est pas lui ?

- Alesio mon p'tit frère tue la !

S'exclame t'il en direction de Alesio.

Il lui tend l'arme et Alesio la récupère sans dire un mots

- J'ai un truc important à faire tue là et débarrasse toi de son corps, en rentrant je ne veut plus la voir ici.

Alesio ne dit toujours rien.

Il a l'air désemparé et de ne pas savoir comment gérer la situation.

Santiago sort de cet entrepôt horrible et je me retrouve donc seul avec Alesio face à ma mort.

Il me braque sans me regarder dans les yeux.

Et à la seconde qui suit la balle ce retrouve dans mon corps.

J'ai une douleur horrible qui apparaît instantanément.

Et je sens mon âme, quitter mon corps j'aurais voulu avoir une meilleure vie mais je ne regrette rien. Tout ce que j'ai fait avait un but.

J'espère que j'ai rendu fier. Mon père de là-haut est rendu fier ma sœur et j'espère aussi que Alejandro va bien parce que à ce moment-là je regrette énormément de ne pas l'avoir écouté, le dernier jour que je l'ai vu.

J'espère qu'il va les tuer et venger ma sœur, me venger.

Adieu ...