Je suis désolée, c'esr un chapitre très court, peut être que j'en publierais un deuxième cette semaine. En attendant, bonne lecture !
P.S : Maxime est en média
Quand Mael m'avait posé des questions sur ce prétendu Maxime, je n'avais pas tout de suite compris,, car je ne connaissais pas son prénom mais quand l'enseigne rouge commença à clignoter dans mon cerveau je me mis à mentir, ne sachant même pas pourquoi. Surement parce que j'avais peur qu'il se moque de moi avec mon ketchup, ou tout simplement qu'il se moque de moi'pour l'idiotie de notre rencontre, ou encore qu'il me dise que Maxime n'était pas fréquentable, qu'il fallait que j'arrete de lui parler. Peut être aussi que j'avais menti pour protéger la réputation de Maxime, car traîner avec une fille comme moi n'était souhaitable pour aucun populaire. En tout cas, si toutes ces excuses ne sont pas suffisante pour vous, et bien je l'avais fait, c'est tout. J'avais menti sans reflechir aux conséquences. D'ailleurs je l'avais fait dans la mesure où je savais qu'il n'y en aurait pas. Mais sans doute que la raison la plus probable, que je n'osais avouer, était que j'avais eu peur de la proportion que notre rencontre avait eu, peur que Maxime l'ai pris au sérieux et que si je disais que l'on s'était déjà rencontré, cela rendrait la chose plus réel, plus vivante, plus tenace, alors que si je niais, il n'y avait pas de promesse, pas de peut être, pas d'incompréhension. Juste un : on ne se connais pas, point.
Mael avait dit qu'on reprendrait cette conversation plus tard, mais est ce qu'il le ferait? Raah mais je me bourrai le crâne de pensée debiles et inutiles. Enfin, cela m'occupait le'temps du trajet en bus pour arriver à la fac.
Dès'que j'eus remarqué les fiches collés sur les murs, je m'y dirigeai pour y trouver mon prénom et ma classe. Je ne connaissais'personne, mais l'inconnu ne me faisait pas peur du tout. Je me faisait' des amis assez facilement. Des amis que je choisissais avec grand soin. Je prenai des heures à capter, analyser et mémoriser chaque geste, chaque parole, le plus discrètement possible. Et ça n'y échappait jamais, j'avais toujours raison sur ce qu'était la personne avant même de lui avoir parlé. Il ne fallait pas s'étonner si les trois premières heures de cours, je restais silencieuse. Un sens aiguisé de l'observation vallait mieux qu'une parole jeté inutilement.
Je suivai la ligne des prénoms avec mon doigt et m'arrêtai sur le mien. Ce que je vis ensuite me figea. Mael. Je ne connaissais pas son nom de famille, ainsi, j'avais toujours le droit d'espérer que ce ne soit pas lui...je me dirigeai vers la salle de cours, le cœur battant, les pas avançant plus vite que je ne le voulais car mon cerveau était désactivé. J'avais le souffle court d'excitation mêlé à de l'appréhension, comme quand j'allais rencontrer mon colocataire pour la première fois. Mes sourcils se froncerent sur le coup de la détermination et la dernière chose que je pensais avant que j'entre en classe fus : que la fête commence...
VOUS LISEZ
Colocation écourtée
RomanceÀ la rentrée, Ava entre à la fac de médecine, mais malheureusement, elle est trop loin de chez elle. Elle est donc obligé d'avoir recours à une colocation quelque peu turbulente. Elle va devoir affronter l'annonce des médecins qui complique tout. To...