OS 1: Le maladroit et le terre à terre - Partie 17

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Louis Tomlinson:


J'ai appelé le boulot, je ne viens pas travailler, aujourd'hui. Ils ont bien comprit qu'il y avait eu un problème pour que les flics m'embarquent pour me poser des questions. Harry dort encore. J'ai pas arrêté de tourner dans le lit cette nuit et il caressait mon bras pour me calmer, quand il était conscient. Je regardais les minutes défilés sur le réveil et il était là pour moi. Je le regarde. Il est magnifique endormi comme ça, même si son visage est fatigué. Je me colle un peu plus à lui et je lui donne des baisers dans le cou. Ça le réveille tout de suite et il entoure ses bras à ma nuque. Je l'embrasse sur la bouche.

- Ça va ?

- Fais-moi oublier toute cette merde.

- Okay.

Il m'embrasse et il vient se mettre entre mes jambes. Il enlève mon boxer, puis le sien et il me prépare un minimum avec du lubrifiant. Ce n'est plus comme avant où on le faisait tout le temps. Harry prend soin de moi et il est toujours aussi fort pour ça. Dans ses bras, j'oublie que mon ex est un meurtrier et que j'ai faillis fauter avec Tucker, hier midi.

Il m'a bloqué dans le vestiaire des hommes et il a demandé pourquoi j'avais fais croire que j'avais pris les horaires d'une collègue. Il m'a coincé contre le mur, sa main contre mon torse. Il pouvait sentir mon cœur qui battait fort et il s'est approché de moi. Sa bouche était près de la mienne quand la voix d'une collègue m'a appelé au micro.

La police m'attendait à l'accueil. Tucker m'a dit de revenir, qu'on n'avait pas terminé. Je ne sais pas ce qui s'est passé pour que je veuille que quelqu'un d'autre qu'Harry couche avec moi. Je l'aime. Je l'aime tellement. Je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête, mais ce n'est pas bon.

Harry me pénètre et je gémis. J'aime, mais je ne comprends pas pourquoi je voulais que Tucker me prenne dans le vestiaire. J'aime pas ce mec. Je le déteste. J'aime Harry, putain. Je ne vais pas bien. Ma libido me fuit et je ne ressens plus de bien quand Harry me fait l'amour. Je ne sais pas ce qui se passe, mais c'est pas bon, non plus.

- Louis ?

Harry me touche. Je ne bande plus. Harry se retire doucement et me regarde. Je regarde le plafond. Ma vue se brouille de larmes et Harry me console en me prenant dans ses bras. Il reste au-dessus de moi, mais il prend soin de moi. Il me réconforte. On entend la sonnette. Je racle ma gorge plusieurs fois.

- Ça doit être la police.

Harry me laisse me lever. Je remets mon boxer et je mets un tee-shirt, puis Harry range le lubrifiant. Je vais dans le salon, quand Harry me dit d'attendre. Je vois ce qui lui a prit autant de temps, hier soir. Il ne rangeait pas que le repas qu'il avait fait. Il a bloqué la poignée avec une chaise et il a disposé des punaises. Il a fait la même chose pour les fenêtres donnant sur l'escalier de secours. Je soupire. Harry s'assoit sur le canapé et Phil vient lui dire bonjour avec ses griffes. Phil a faim. Il se lève pour aller lui donner à manger, je vais ouvrir aux flics. C'est eux. J'ouvre la porte et quelques secondes plus tard, ils sont à la porte.

- Attention. Mon compagnon a disposé des punaises sur le sol, en cas d'intrusion.

- Astucieux. Bonjour, messieurs.

Ils visitent à deux l'appartement et je pense à l'appartement d'Harry. Mais Ed ne sait pas que c'était mon voisin avant qu'on sorte ensemble. Harry ne lui a pas parlé de son appartement à côté. Je les laisse verifier les étages et l'appartement. Je dois dire que je suis heureux d'avoir le canapé d'Harry dans l'appartement. Il est plus petit, mais au moins, il n'est pas cassé.

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