How I fell in love

Chapitre 46 🍋

Ce chapitre sera centré sur la relation entre Andréa et Lucie. Le point de vue sera donc celui d'Andréa.

J'entends que quelqu'un frappe à ma porte.

J'enlève mon casque de mes oreilles.

Je regarde rapidement mon reflet dans le miroir et arrange mes cheveux.

Je mets une paire de boucles d'oreilles, lisse ma tenue et part ouvrir.

Sur le seuil de la porte, je vois ma copine qui me saute au cou directement.

Je lui rends son étreinte et referme la porte.

Lucie : J'ai failli attendre...

Moi : Désolée ma belle, je voulais être parfaite pour toi.

Je lui fais un clin d'œil, elle rougit.

Elle met ses mains autour de mon cou.

Lucie : Je sais pas comment t'arrives à me faire autant craquer avec de simples disquettes...

Je la plaque contre le mur de mon entrée.

Moi : Hmm... Parce que tu m'aimes ?

Je caresse doucement ses côtes.

Elle ne répond plus rien, elle ferme les yeux et entrouvre légèrement la bouche.

Je place ma langue sur son lobe et la mordille légèrement.

Je sens qu'un léger soubresaut parcourt sa peau.

Moi : Touchée.

Une de ses mains vient se perdre dans mes cheveux tandis qu'elle soupire mon prénom.

Je passe mes lèvres sur son cou et y dépose une multitude de baisers.

Lucie : Andréa... Dis-moi que tu m'aimes... Dis moi que tu n'aimes que moi...

Lucie presse davantage son corps contre le mien.

Je retire mon visage de son cou pour lui faire face.

Moi : Je t'aime. Je n'ai d'yeux que pour toi. Et ce depuis notre rencontre. Je ne m'en étais tout simplement pas rendue compte.

Je pose mon index sur ses douces lèvres et les caresse.

Moi : Mais maintenant, je t'ai pour moi toute seule. Et je suis toute à toi...

Sur ces derniers mots, je scelle nos lèvres en un baiser passionné, comme une promesse.

Nos langues se séparent quelques instants plus tard, à bout de souffle.

Nous nous regardons toutes les deux, fiévreuses et ivres de désir l'une pour l'autre.

Je prends Lucie dans mes bras et la porte jusque dans ma chambre.

Je ferme ma porte à clé.

Elle s'allonge sur mon lit et je me mets au dessus d'elle.

Moi : On a toute la journée, et toute la nuit... Mes parents et mes sœurs sont partis deux jours à Bordeaux.

Lucie me sourit et acquiesce.

Moi : Et maintenant, tu veux faire quoi ?

Je caresse son ventre en m'attardant sur les contours de sa poitrine.

Mon sourire est plus qu'équivoque à l'idée qui me passe par la tête.

Elle semble lire dans mes pensées et répond dans un soupir.

Lucie : Fais-moi du bien, Andréa...

Moi : Tu es sûre ?

Lucie : Plus que sûre.

Je hoche la tête et retire son haut tandis qu'elle enlève le mien.

J'observe longuement sa poitrine encore recouverte de tissu, puis dégrafe son soutien-gorge afin de voir l'objet de mon désir.

Je couvre sa poitrine de baisers.

D'une main, je retire son jean avant de retirer le mien.

Je les jette à l'autre bout de la pièce sans y faire trop attention, trop concentrée sur ma moitié.

Je dévore du regard ses cuisses parfaites, et je n'ai qu'une envie, c'est qu'elle gémisse mon nom.

Elle enlève lentement sa culotte, la remontant parfois, se concentrant sur ma respiration, pour me faire languir.

Elle écarte ses cuisses, m'offrant une vue directe sur le paradis.

Je suis toute troublée par ce qu'il se passe, mais aveuglée par mon désir, je fais ce dont j'ai envie, et également ce que Lucie souhaite.

Je place deux doigts devant son vagin, et guette sa réaction, comme pour lui demander une dernière fois si c'est ce qu'elle veut vraiment.

Lucie : Oui, vas y...

J'entre tout doucement un premier doigt avant d'y mettre le deuxième.

J'accélère peu à peu mes mouvements, me basant sur ses réactions, me calant sur son rythme.

Je sens que le plaisir commence à monter, et je l'embrasse pour lui montrer.

Je retire mes doigts recouverts d'un liquide, et décide d'y aller avec ma langue cette fois-ci.

Je lèche doucement ses lèvres, puis m'attarde sur ce petit bouton de rose qui la fait gémir de plus belle.

Sa main caresse mes cheveux comme pour m'indiquer la direction à suivre.

Mes mouvements se font plus détendus, et je commence à trouver un rythme la satisfaisant pleinement.

Je sens alors une sorte de liquide venir dans ma bouche, et je souris en voyant ses lèvres rosies.

J'embrasse tout son corps, avide de sa peau, avide d'elle.

Moi : Je serai toujours là pour toi, je te le promets.

Lucie : Je t'aime.

Moi : Je t'aime aussi.

Et nous nous endormons paisiblement, dans les bras l'une de l'autre, nous tenant fermement et avec tendresse.