Chapitre 11 Alvaro

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Au M.C,

La nuit a été courte, deux heures de sommeil tout au plus. Nous devons nous réunir dans la salle pour parler de notre plan. Les deux Présidents sont déjà debout, devant une tasse de café et un verre de cachaça, noyant le café sous une dose d'alcool.

— Bien dormi mes amis !

— Comme des loirs !

— Profondément je n'en doute pas, mais longtemps c'est impossible, ris-je.

— C'est vrai que la nuit fut courte mais on aura le temps de se rattraper quand on sera allongé au fond d'un cercueil ! répond Mendes.

— Le but de votre venue, c'est pour que ce soit Nunes et Vieira qui dorment dans une boite.

— Et ils vont y dormir ne te fais pas de bile là-dessus ! Parole de Correia !

Je me joins à eux, buvant un café noir avec un verre de rhum pour effacer ma gueule de bois. Nous avons bu et baisé comme des lapins, ce fut une orgie totale. Certains n'ont pas regagné leur campement, ils se sont, soit écroulés dans l'herbe, soit sur les transats. Il reste encore quelques-uns d'entre eux sur le sol mais ils sont en train d'être délogés par les V.P des deux clubs présents, ainsi que par le mien pour ce qui est de mes hommes encore dans le coaltar. Je les vois tous se diriger vers le bâtiment abritant, non seulement leur dortoir mais aussi la salle dans laquelle nous devons nous retrouver. Ils ont une heure tout au plus pour reprendre leur esprit.

En attendant, nous décidons de piquer une tête dans la piscine, histoire de nous rafraichir les idées. Quelques brasses vont nous permettre de finir d'émerger. Nous sommes rejoints par quelques brebis dont Bianca. Elle ne m'a pas lâché la grappe hier soir, que ce soit au sens propre comme au figuré. J'ai réussi à enfiler une ou deux autres brebis mais elle revenait toujours à la charge.

Elles plongent à côté de nous, Bianca quant à elle, fait du sous l'eau pour me rejoindre et englobe dans sa bouche mon sexe, qu'elle pompe deux à trois fois. Oh bon sang ! On se baigne à poils donc forcément, c'est chose facile de se faire sucer. Elle remonte pour prendre de l'air dans ses poumons, me faisant un clin d'œil au passage puis replonge pour continuer. Les autres brebis ne sont pas en reste, il y a Mendes qui est déjà en train de prendre une brebis par le derrière, pendant que Correia a fait grimper la sienne sur le rebord pour lui dévorer le sexe. Des sons gutturaux s'échappent de nos gorges. Je sens que je vais exploser donc je chope la belle par la tignasse, la remontant à la surface et lui dévore la bouche. Nos langues dansent une salsa endiablée, j'ai inséré un doigt dans son intimité, faisant des allées et venues à l'intérieur. Elle geint dans ma bouche et cela m'existe encore plus.

— Capote ! Crié-je.

Un de mes hommes venant d'arriver, prêt à plonger pour nous rejoindre, se stoppe pour récupérer dans la poche de son fut gisant au sol, le bout de caoutchouc que je viens de demander. Il me le jette et je le réceptionne avant qu'il ne touche l'eau.

— Voila ma belle, ta mission est d'aller me l'enfiler, fais je.

Elle ouvre l'étui argenté, récupère le préservatif, le déplie puis le met dans sa bouche, me faisant un clin d'œil avant de s'immerger sous l'eau. Je sens que ce qui va suivre va me plaire. En effet, je sens sa bouche se refermer sur ma verge et glisser tout du long.

— Oh bordel !

Elle ressort puis prenant appui sur les parois de la piscine, veut venir s'empaler sur mon braquemard.

— Tu connais les règles, Bianca ! Tourne-toi !

Elle me tire la tronche mais s'exécute. Depuis le jour, où une brebis a voulu me faire croire que je l'avais engrossée, j'ai choisi de sodomiser les filles avec lesquelles je couche. Celle qui a voulu jouer avec mon sens de la paternité, s'est retrouvée à la rue. Je ne plaisante pas avec ça !

Amazon Devil's ( En réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant