New Story

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Bonjour/Bonsoir, voici une nouvelle histoire différente de la précédente. Il est déjà disponible...

Néanmoins, j'en réserve une autre comme Mafia qui sera intitulé Cartel. Qui sait ? Plus coriaces que Mafia.

Bien, voici la nouvelle histoire :

Je me laisse clisser à même le sol doucement en prenant au passage le sac qu'il m'avait dit

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Je me laisse clisser à même le sol doucement en prenant au passage le sac qu'il m'avait dit. Je le prends et fouille dedans pour y trouver un Ventoline. Je n'attends pas et l'aide. Il a fallu que cinq minutes passent pour qu'il reprenne totalement conscience et pendant ce temps je ne cessais de lui caresser sa barbe comme je l'ai toujours rêvé mais je m'arrête en voyant qu'il reprenait conscience.

- Pourquoi tu t'arrêtes ? Me demande-t-il d'une voix faible mais cas même rauque

- Je...je ne...Bégaie-je

- C'est bon calme toi. *Sourit* Tu es plus belle quand tu es gêné. Dit-il en prenant ma main qu'il dépose sur son torse.

Il veut me tuer ou c'est comment ? Le mec au calme, il est couché sur mes cuisses ma main droite sur son torse en train de le caresser comme si tout ceci était normal. On dirait un couple qui fait un pique-nique.

Sauf que nous n'en sommes pas un. C'est un professeur, Mon professeur et moi une étudiante.

Une étudiante qui est tombée sous le charme de son professeur depuis la première fois qu'elle l'avait vue et qui a du mal à gérer ce qu'elle ressente. Une étudiante qui ignore même si ce qu'elle ressent est réciproque ou pas.

- Tu penses à quoi ? Me sort-il de mes pensées

- Je dois partir, ma place n'est pas ici. Répondis-je automatiquement en voulant me lever mais il m'en empêche.

- C'est pour cela que t'es désagréable avec moi ? Je devais m'en douter.

Je ne dis rien et le regarde soupirer sans pour autant arrêter ces caresses qui commençaient à me faire tomber dans un état jusque-là jamais connu et il s'en aperçoive.

- Dans la vie si tu veux quelque chose il faut faire tout pour l'avoir.

Je secoue la tête en regardant ma main sur qu'il caressait.

- Nous sommes dans la vrai vie et c'est pas toujours qu'on obtient ce que l'on veut. Lui répondis-je abattu après avoir réaliser que jamais je ne serai à lui

- C'est impossible, dit la fierté. Commença-t-il toujours avec son sourire tombeur

- C'est risqué, dit lexpérience. Dis-je à mon tour un mince sourire aux lèvres

- C'est sans issue, dit la raison. Dit mon professeur

- Essayons, murmure le cur. Finîmes ensemble le poème de William Arthur Ward

Puis sans que je ne m'y attende il prend ma tête et l'approche de la sienne pour un baiser chaste mais doux et tendre à la fois.

C'est certifié, il veut ma mort!!!!

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