[̲̅M̲̅][̲̅a̲̅][̲̅F̲̅][̲̅i̲̅][̲̅a̲̅]

Athènes

Un an plus tard...

Londres,
10 : 26...

- Tu ne veux toujours pas parler avec ton frère ?

Mes yeux quitte l'écran de mon portable pour se poser sur l'homme au cheveux brun dégradé sur le côté avec les yeux noirs. Il devait mesuré 1 m 89 et son teint bronzé qui met en valeur son tatouage au cou le rendez plus beau que d'habitude. Sans oublier son accoutrement qui ne changé pas , c'est à dire un costume bleu nuit et une chemise noir sans cravate.

Je dois l'avouer les hommes de la mafia sont craquant avec leur costume.

Bref...

- Je ne vois pas pour qu'elle raison je parlerai avec lui.

- Athènes...

Sa voix est plein de reproche. Mais j'avais rien à faire. Je prends mon portable et décide de surfer sur internet pour lui faire comprendre que le sujet était clos. Mais je remarque que le message n'est pas passé puisqu'il m'arrache mon téléphone pour le mettre dans sa poche de veste.

- Je peux savoir qu'est ce qui te prends ? remets moi mon téléphone Raphaël !

- Tu m'écoute d'abord.

- Je ne veux...

- Ça suffit !

Je sursaute à l'intonation de sa voix. Il venait de me crier dessus pour la première fois, attirant l'attention des autres clients et serveurs.

Jamais au grand jamais il n'avait haussé le ton avec moi.

Une minute passe et un silence pesant circule dans le restaurant. N'y tenant plus je me lève à la hâte en prenant mon manteau ainsi que mon sac à main et sort rapidement du restaurant sous les regards rempli de peine des autres clients.

Ça va nous avons pas rompu !

Sur le point de me diriger vers notre hôtel situé à l'autre bout de la rue j'entends le voix rauque  de Raphaël l'interpeller.

Ne voulant pas qu'il me rattrape, je traverse la route pour entrer dans un grand parc que j'avais détecté depuis notre arrivée.

Je refoule mes larmes, de honte et de tristesse , et je pénètre dans le parc en serrant mon menton contre moi en admirant lep magnifique paysage qui se dressait au fur et à mesure que j'avançais.

C'est tellement magniique que j'oublie la raison pour laquelle je suis ici.

Je m'associe ,sur un banc libre ,en souriant inconsciemment en voyant les enfants jouer sur les manèges avec leur parents. Et bizarrement, il y'a un petit podium au milieu et des hommes et femmes qui faisaient des allés et retours.

Je hausse les épaules et détourne le regard.Des jeunes couples étaient assis sur l'herbe en face d'un petit lac, le sourire au lèvre.

Je ne me rappelle plus là dernière fois où j'avais mis les pieds dans un parc. Le travail bouffait littéralement mon temps. Mon frère ne cessait de faire tout ce qui était en son pouvoir afin de m'éloigner de ce monde pleine de concurrence.

Léandro...

- Désolé

Doucement, je détourne mes yeux des couples et le pose sur la main qui tenait mon smartphone. Je ne l'avais pas entendu s'approcher ni prendre place sur le banc. À côté de moi.

- Je n'aurai pas dû te crier dessus...

- Je te pardonne.

Je récupère mon téléphone de ses grandes mains .