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Jade

22:00

◐ Flash back ◑

- Je refuse de vous donner mon autorisation!

C'était la phrase de trop pour eux puisqu'ils osent dégainer leurs armes pour moi. J'étais en mauvaise posture et eux avaient brisé un des nombreux lois. Mais j'avais préféré passer l'éponge pour une fois. Mon frère, Gabriel, Luigi ainsi que Leïla s'étaient postés devant moi, eux aussi avec leurs armes.

Même s'ils n'avaient pas compris mon refus ils m'ont cas même servi de bouclier. Mais ça n'avait pas suffit pour me sortir de se dilemme.

- Pourquoi vous la protégeais ? Elle a refusé de donner son autorisation pour capturer Riccardo. Nos femmes et nos enfants sont entre les mains psychopathe. C'est la complice de Riccardo.

- C'est pas parce qu'elle a refusé de vous donner son autorisation qu'elle en est une. Et vous avez pas le droit de pointer vos armes sur un responsable.

Après la phrase de Luigi, Marc et les autres avaient décidé de baisser leurs armes sauf un. Jorice. Ce gars commencait vraiment à me tapé sur le système. Et Leïla semble du même avis que moi, pour une fois.

- Qu'est-ce que tu attends pour baisser ton arme vieux snook ?

- Pour me faire bernés par vos paroles sournoises ? Ce temps là ma femme et mon fils seront déjà morts, alors je te conseille de revenir sur ta décision et vite.

Cet homme est un fou. Ne voyait t'il pas les personnes prête à l'éliminer s'il venait à appuyer sur la détente? Je crois que non.
Je me frotte le front agacé par sa stupidité et me saisis de mon arme prête à finir avec lui mais c'était trop tard il avait déjà tiré sur...

◐ Fin ◑

- C'est bon tu tiens le coup? Nous sommes presque arrivées.

- Vient je te tire une balle dans l'épaule après tu saurais ma situation actuelle.

- J'ai subit pire que ça mais merci c'est sans façon.

Je ne la laisse pas le temps de me répondre et sort de la voiture. Je fais signe au gardien pour qu'il vient m'aider à sortir Leila de la voiture. Elle est sur le point de perdre connaissance.
Sans pitié je lui met une grossebgifle pour qu'elle ne tombe pas dans l'inconscient.

- T'es serieuse là tu me... AIE PUTIN!

- Désolé! Mais ferme là et cesse de crier tu vas les réveiller.

Je me demande pourquoi j'avais accepter de le prendre sous mon aile le temps que les gars s'occupent de jorise. Peut-être pour la remercier de m'avoir défendue tout à l'heure. Avec l'aide du gardien, dont je ne connais pas son nom, j'ouvre le porte d'entrée de la maison.

Les lumières sont encore allumées. Après l'avoir installé, je monte directement au premier étage puis entre dans la salle de bain pour avoir une trousse de secour et retourne auprès d'elle.

À mon arrive je trouve Léandro débout près du fauteuil en train de contemplain ma sœur inconsciente. Je m'approche d'elle et commence les soins.

- Qui est ce?

- Ma sœur.

- Ah...où sont les jumeaux? Je croyais que tu devais rester avec eux pour deux jours? Et que s'est-il passé avec elle?

Je m'arrête et le regarde pour lui montrer ma frustration à cause de son interrogatoire. Il s'exuse et vient me rejoindre dans la tâche. Il dépose le gant mouillé que j'ai apporté de la salle de bain et le dépose sur le front de Leïla.

- Rassure moi, les jumeaux n'on rien j'espère?

Pour ça il faudrait qu'ils soient présent lors des faits et heureusement pour moi ,ils n'y étaient pas.

- Rassure toi ils n'ont rien, ils ont pris l'avion pour l'Italie. Tient la par les épaules.

Il fait se que je lui dit et je prends le ciseaux que je chauffe à l'aide du briquet. Son visage se renferme comprenant se que je suis sur le point de faire et moi je souris. Je réveil ma sœur et la fait mordre dans la serviette. C'est bon elle va survivre.

- Tu es folle!

- Tu préfère le faire à ma place peut-être?

Il ne repond pas et regarde ma sœur, qui elle est un peu dans les vappes. Tu vas bientôt te réveiller.

- Désolé.

Je serre les dents sous les cris stridents mais aussi étouffés qu'elle pousse. Avec précaution et sans brusquerie je retire la balle dans sa chaire et lui met un pansement. J'essuie avec mes pouces ses larmes et pose un baiser sur ses deux joues pour la première fois.

- C'est finit.