[̲̅M̲̅][̲̅a̲̅][̲̅F̲̅][̲̅i̲̅][̲̅a̲̅]

Jade

Sicile, Villa n°321,
14 : 14...

- Cette fois ci , c'est toi qui m'a mis dans la merde....

**Flash back**

- Jade c'est bon nous avons la marchandise !

- Ok on y va...

Evan monte dans la voiture ainsi que chacun de nos hommes puis on quitte le port en fil indien, moi ainsi que mon frère en tête.

Cela faisait un mois que j'étais rentrer chez moi rejoindre mes enfants. Savino était complètement guéri de sa malade après avoir trouvé un donneur de moelle osseuse.

Le principal donneur étant son idiot de père, mais vu que je ne me voyais pas le lui demander et par la suite lui révéler l'existence des jumeaux, j'ai préféré demander à mes frères. Heureusement que Lisandro était apte.

Maintenant me voilà reprendre ma vie ancienne c'est à dire, les armes, la guerre , l'illicite, bref ma vie de mafieuse.

C'est dans mon gêne.

J'avais décidé de reprendre ma vie après que les choses ont été dites dans le bureau. J'avais compris qu'on ne pouvait plus rien être, notre relation n'avait pas droit a avoir lieu. Alors notre route c'était séparée et j'avais préféré rentrer ce même soir en hélicoptère.

Je n'en pouvais plus.

- Jade répond, c'est Samuel.

- Met le en haut parleur.

Je jette un coup d'œil sur mon rétroviseur enfin de voir si la vanne qui contenait nos nouveaux armes était toujours là , au milieu de la fil.

Elle y était toujours.

- Mà...

- Oui chéri, tout va bien avec ton oncle et grand père ?

- Sí !

- Et ton frère il est où ?

- Dans la cuisine avec tonton Lisandro.

Je le trouvais bizarrement calme. Samuel ne peut pas rester un moment sans faire de bêtises ou de farce à ses oncles ou à mes hommes.

Je fronce des sourcils pensant au pire mais j'entends des bruits que j'avais du mal à discerner.

- Quelque chose ne va pas Samuel ? C'est quoi ces bruits ?

- Nada mamá..

- Samuel...

Je fronce de plus en plus les sourcils quand je peine à freiner pour emprunter la ruelle droite que donnait le carrefour.

- Attention Jade !

Pour éviter d'écraser un groupe de jeune qui se trouvait sur le passage piété je tourne le plus vite possible le volant, prenant ainsi le mauvais chemin.

- Merde ! Quelqu'un a coupé mes freins.

- Comment ça peut arriver ? Nous avons pas quittés la voiture ne serait ce qu'une demi heure.

Mon état soucieux de dissipe quand la voix de Samuel me parvient. J'avais comme qui dirait, oublié que j'étais en communication.

- J'ai gâché la boîte de munitions de tonton Ethan sous ton lit et j'ai remplacé son gel pour cheveux à de la morve des chiens de garde...