[̲̅M̲̅][̲̅a̲̅][̲̅F̲̅][̲̅i̲̅][̲̅a̲̅]

Jade

Le lendemain...

12:25,
Dans un milieu perdu...

- Tu en es sur Jade?

- Quoi?

- J'ai pas confiance à ce flic avec sa tête constipée...

-Et depuis quand la Mafia travail avec la police? Ça  pu les flics 

- C'est bon vos gueules. Je ne vous ai pas appelé ici pour entendre vos miaulements.

- ...

- voilà!

Je me déconcentre sur le plan que m'avait fournit Yan hier afin de mieux le metriser. Nous avons passé la nuit entière à établir un plan d'attaque après avoir trouver la planque de Riccardo et ces hommes par un message d'un numéro inconnu. D'après Yan c'est le même numéro qui l'avait envoyé tous les informations qui l'a conduit jusqu'à moi. Quelqu'un essaie à nous aider dans l'ombre. Qui et pourquoi? On l'ignore.

Suite à ce message "mystérieux " j'avais contacté, Mon frère, Leïla, Luigi, Gabriel et les jumeaux. Quant à monsieur l'inspecteur, il avait juste contacté trois de ces hommes les plus fidèles d'après ces dire. Nous serons dix contre vingt hommes plus Riccardo et Anna.

Je serais avec Raphaël sur le terrain, mon frère, Luigi, Yan et deux de ces hommes seront posté un peu plus loin du périmètre en quand de dérapage, on sait jamais, Leïla, Gabriel et l'homme qui reste serviront d'élite sur chaque bâtiment qui encercle la Zone. Et pour finir les jumeaux eux préviendront l'ambulance pour les blessés après notre signal.

- C'est bon vous êtes prêts?

- Oui, on y vas Raphaël?

- Attendez...

- Quoi Leïla.

- Je propose que Raphaël prends ma place.

- Pourquoi?

- Imagine, il entre et voit sa "copine" dans un sale état il y'a une forte chance qu'il pète les plombs et ça ferait qu'empirer les choses.

- La petite à raison.

- C'est toi qui est grand peut-être ?... Monsieur l'inspecteur.

- Orh c'est bon, Leïla tu viens avec moi. Quand on récupéra Athènes, Leila prendra la voiture pour la transporter jusqu'à toi et tu files jusqu'à l'hosto, on se débrouillera pour le reste. Et toi petite tu reprendra ta place.

- Pff..

- Donc tu vas rester toute seule avec Riccardo?

- Je gère. Maintenant à votre poste. Et n'oubliez pas de détruire les caméras.

◈◈◈◈◈◈◈

•Léandro•

- Léan..dro (SNIF) j'ai mal.

- Tiens le coup petite sœur, j'y suis presque.

- Ça n..e sert à rien ce que tu fais mon fils.

- Ferme là. Ne m'appelle plus jamais mon fils.

Je lui tourne le dos et continu à dévisser les vises de la serrure. Il ne me reste que deux pour que la porte en fer cède. Si j'avais pas fait tombé mon arme nous en seront pas là. Ma sœur est dans un sale état et puis elle ne cesse de se tenir le ventre depuis que la bonne femme à porter des coups violents sur tout le corp puis s'en était suivi de l'autre femme qui nous servait de mère. Elle a porté plus de coup que sa fille, on l'avait coupé ces cheveux bruns sans hésitation. Et moi dans tout ça? Il ne m'était rien arrivé, à part les quelques blessures que j'ai eu quand il m'avait prit par surprise, sinon rien. Et c'est ce qui me met le plus en rogne. Je devais être celui qui porte tous ces blessures pas elles, ma mère et ma sœur.

Un sursaut nous prîmes quand la porte s'ouvre et laissse apparaître la bonne femme et deux autres hommes. Cette fois-ci elle n'a pas amené des seaux d'eaux froid pour notre réveil matinal ni même son chat à neuf queues.

Je cacher la lame sur ma poche arrière et part saisir la main de ma sœur. On été sur des cellules séparer et les barre de métal sont assez espacées pour nous maintenir fermement sa main. Je pouvais la sentir trembler sous ma paume alors que l'autre ouvrait la petite porte de sa cellule.

- L... Laissez moi tranquille.

- Sois heureuse que je ne prends pas mon dû aujourd'hui. Allez sortez la pour qu'on puisse en finir.

- Comment ça en finir? Lachez ma fille.

- Lé..andro(snif) dit leur de me la..chez(snif). Je n'ai rien fait pour mé..rité ça.

- Pourquoi vous lui faites ça? Dite moi qu'est-ce que vous voulez et je vous le donnerai.

À la fin de ma phrase elle fait signe à ces hommes de s'arrêter, il était sur le seuil de la porte. La bonne femme vient jusque devant ma cellule et me regarde de haut en bat.

- Tu en es sûr de toi beau goss?

- Dites moi ce que vous voulez.

- Mafia.

- Mafia?  Qu'elle est le rapport avec nous alors?

- La Mafia de Sicile, et ne crois pas que tu n'es rien pour nous. Au contraire tu es notre appât pour attiré le chef. Vue ton visage je suppose que tu peux rien faire. Mais ne sois pas déçu car ta sœur a remplie sa part en fesant venir celle qui nous fallait,Arizona. Je suppose que tu ne la connais pas. Dommage!

Puis ils l'amènent sans tenir compte des cris et les pleure de ma sœur. Je ferme les yeux en serrant les points contre mes hanches pour réprimer le sentiment de colère qui me gagne . Arizona. Ce nom ne m'est pas inconnu et ce nom semble être la source de tous ce problème.

- Arizona...

- Tu ne sais pas de qui il s'agit?

- Non.

- Ma petite Arizona...

- Tu l'as connais?

- Quoi? Non...

- De toute façon je le saurais tôt ou tard.