Araignées

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Des talons résonnent lentement vers moi. Mon sang bouillonne dans mes veines, enchaînées par des cordes. Enfin, elle est de retour. J'admire sa tenue : une combinaison brillante qui épouse parfaitement son corps, sans aucun pli disgracieux. Un corset serre sa poitrine, lui rappelant sa jeunesse. Un masque rococo dissimule ses rides.

— Alors comment c'était ?

Elle enlève son masque, défait son chignon ; des cheveux blancs se mêlent à sa chevelure brune et épaisse.

— Ai-je crié assez fort pour que tu m'attendes ?

— Pas assez, je le crains.

Elle s'assoit près de moi et commence à mes jambes nues. Ses ongles me procurent tellement de plaisir.

— On devra investir dans un baby phone alors.

Un rire sort de sa bouche. Sa tête s'approcha de mon entrejambe, son doigt tapote ma cage de chasteté en métal.

— Tu devrais la changer. Regarde comment elle est grande comparée à ton vermisseau.

— Non, c'est pour bander.

Ma femme rigole.

— Tu aimes bander dans une cage de cinq centimètres ?

— C'est déjà mieux de rien.

— Tu veux que je raconte comment ça s'est passé avec mon plan Q, au moins ton vermisseau pourra grossir.

Son ton était peut-être humiliant au premier abord, mais c'est trop drôle, autant pour elle que pour moi. J'essaye de me retenir de rire, je suis son mari soumis tout de même.

— J'ai des règles avec mes plans Q, une seule fois, masqué et pas de téléphone portable. C'est un grand gaillard avec des poils, un ours pas comme toi qui est imberbe comme un bébé. D'ailleurs, tu devras épiler, les poils commencent à repousser. On commence sans préliminaire...

— Tu m'excites trop, suce-moi !

— Tu ne me donnes pas d'ordre.

Ses doigts caressent la peau qui sort de cage de chasteté. Ma queue avait pris tout le volume de ma cage. Ma femme regarde avec un air grave.

— Si ton corps était lisse et gracieux, pourquoi pas te sucer, mais là cela me répugne

Ses doigts parcourent toute la cage de chasteté dans tous les recoins.

Soudain, je sentis une chose se déplacer sous mon pied. Ce sont des fourmis, j'ai le pied immobile depuis... quand je suis attaché, je perds la notion du temps. Ou bien ce sont des caresses involontaires de ma femme. Je ne dis rien, pour ne pas casser l'ambiance.

— Cela vient ? Cela presque deux minutes ?

— Sois patiente.

Ma femme prit ma cage en pleine main et me masturbe comme si c'était une « vraie » bite. Ma femme considère que la mienne qui mesure 9,5 centimètres en érection est une fausse.

Les fourmis qui se trouvent à mon pied et déplacent vers ma cheville. Ma femme me gênait pour savoir ce que c'est.

L'excitation monte, et je gémis comme ma femme a appris à le faire. Un gémissement bien aigu. Des frissons parcourent tout mon entrejambe. La chose grimpe sur mes cuisses.

Soudain, ma femme hurle en voyant un minuscule araignée sur ma cuisse, elle recula trois pas. Me laissant seul avec un orgasme ruiné. Mon sexe se raidit à plusieurs avant que le sperme coule le long de mon sexe. Prise de peur, l'araignée s'en fuit vers mes pieds. Ma femme saisit le martinet et la frappe avec toutes ses forces. Elle manque à toutes les reprises, ses jambes sont recouvertes de rougeur.

— Aide-moi un peu !

— Je suis attaché...

Un cri de douleur, interrompre ma phrase, ma femme a frappé sur mon pied.

— Laisse-la, elle va partir toute seule.

— Jamais, je ne pourrais dormir avec une araignée en liberté.

Ma femme suit l'araignée et frappa le meuble, le sol et le tapis. Elle cria très fort. Elle avait eu cette putain insecte à six pattes. Ma femme revient chez moi.

— Je suis désolée, je ne voulais pas ruiner ton orgasme.

— T'inquiète, cela m'a bien fait rire. Je ne vais pas oublier cet orgasme.

— Promis, la prochaine fois, tu auras une « vraie » pénétration.

C'est-à-dire sans gode ceinture. 

Splinters of FemininityOù les histoires vivent. Découvrez maintenant