SKYCHASTITY 5 : La chaleur d'une bite énorme

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Je reste pétrifié par cette remarque. Elle sait ce que je porte entre les jambes, et visiblement, l'idée de ma cage de chasteté lui fait beaucoup d'effet.

— Tu m'excites beaucoup avec ta cage de chasteté.

Elle s'approche de moi, ses yeux curieux fixés sur mon entrejambe.

— Tu as une petite bite, c'est ça ? J'ai des copines qui en portent.

Je reste silencieux.

— J'ai ma réponse, répond Anaïs.

Elle fouille dans son sac à main posé sur la table de la cuisine.

— Tu as un chargeur de téléphone ? Je crois que j'ai oublié le mien à la fac.

— Oui, tu peux fouiller dans mon sac.

Anaïs sourit et se dirige vers ma chambre. J'en profite pour envoyer un SMS à Markus, car je ne connais pas l'heure de son retour. Anaïs revient avec mon chargeur, toujours souriante. Elle porte également les collants que je comptais lui offrir.

— Je ne savais pas que tu portais des collants, tu me surprends beaucoup.

— Mais c'était toi. Je trouve ça triste que tu portes des collants déchirés.

— Je pourrais te croire, mais je ne suis pas idiote, c'est un collant en cachemire. Tu aurais pu prendre un collant basique.

Sur ce point, elle a raison. Anaïs s'approche de moi et me montre son imposante bosse. Le nylon de son legging moule parfaitement son anatomie. Anaïs ne porte pas de sous-vêtements.

— C'est ta cage de chasteté qui me fait cet effet, alors pourquoi ne pas passer à l'acte ? Je déteste rester excitée toute la journée.

Comment ça, j'excite Anaïs ? Elle fait exprès pour me provoquer. Elle retire délicatement son legging, révélant sa queue imberbe, monstrueuse.

— Tu enlèves ta combinaison pour que je te pénètre ?

Son regard est si beau, si sensuel. Mon sexe essaie de gonfler dans ma cage de chasteté, frappant violemment contre les parois.

— On peut aller dans la chambre.

***

Je suis allongé sur le lit, nu, les draps froissés sous mon corps. Le souffle court, je tente de calmer l'angoisse qui bat dans ma poitrine. Anaïs est là, à quelques centimètres de moi, ses yeux brillants parcourent mon corps. Sa présence est apaisante, son sourire chaleureux, mais malgré cela, l'appréhension me serre encore la gorge.

— Tu portes une SkyChastity ?

— Tu connais ?

— Bien sûr, j'ai une amie qui en porte une. Cela doit être excitant d'être soumis à une inconnue.

Elle me regarde avec un sourire tendre, puis approche sa main de mon visage. Elle trace une ligne imaginaire sur ma joue, une caresse légère, presque imperceptible. Ses doigts glissent doucement jusqu'à mon entrejambe, puis caressent mes bourses. Mon cœur bat de plus en plus vite.

— Eren, tu es bien excité à ce que je vois, tes bourses sont immenses, murmure-t-elle. Tu n'as rien à craindre, je suis là.

Son ton est doux, rassurant. Je hoche la tête, mais je n'arrive pas à chasser ce nœud de nervosité qui se forme dans mon ventre.

— C'est ma première fois, dis-je presque inaudiblement.

Elle semble lire dans mes pensées, car elle continue, sa voix calme et posée.

— On va y aller doucement, d'accord ? Juste toi et moi. On prend notre temps.

Je ferme les yeux, essayant de me laisser aller à cette idée. Ses mots apaisent mes peurs. Je me sens un peu plus détendu. Je rouvre les yeux et la regarde. Elle est magnifique, ses cheveux tombant en cascade sur ses épaules, son regard rempli de bienveillance. Je me perds un instant dans ses prunelles.

— Tu es prêt ? demande-t-elle, sa main toujours posée sur mon menton, son pouce caressant ma lèvre inférieure.

Je prends une grande inspiration, puis je hoche la tête. Elle se penche alors vers moi, enduit son pénis bien dur de lubrifiant, et avec une élégance maîtrisée, me le pénètre. La chaleur m'envahit. Un frisson parcourt tout mon corps, mais ce n'est plus de la peur. C'est autre chose, quelque chose de plus profond, de plus intense. Je reste silencieux, ma cage de chasteté me faisant souffrir.

Elle se recule, m'observant avec attention, guettant la moindre de mes réactions.

— Ça va, Eren ? Tu es bien silencieux, tu apprécies ?

— Ma cage de chasteté me fait un mal de chien, "apprécier" est un grand mot. Mais vas-y, si cela te procure du plaisir.

— D'accord, mais si quoi que ce soit ne va pas, on peut arrêter, OK ?

— OK.

Anaïs me pénètre de nouveau, mais avec plus de vitesse cette fois-ci. J'entends sa respiration haletante, sensuelle et forte.

— Respire, Eren, souffle-t-elle à mon oreille.

Je réalise que j'ai retenu mon souffle. J'inspire profondément, sentant l'air frais envahir mes poumons.

Son corps se presse contre le mien, et je sens la chaleur de sa peau, la douceur de ses courbes. Mon corps répond au sien, et je me laisse aller à ses caresses.

— Laisse-toi aller, chuchote-t-elle, ses lèvres contre les miennes.

Comme si c'était simple... Je ferme les yeux, essayant de me concentrer sur Anaïs. Son sexe frappe violemment contre ma cage de chasteté depuis de longues minutes, cela devient pénible. Comment Anaïs fait-elle pour durer aussi longtemps ? C'est bien plus facile pour elle que pour moi.

Elle se penche à nouveau, m'embrassant avec une tendresse infinie. Son corps épouse le mien, et je la sens s'unir à moi, doucement, sans précipitation.

— Ça va, Eren ? me murmure-t-elle.

Je hoche la tête, incapable de parler, submergé par l'intensité de ce que je ressens. Je reste silencieux. Ce plaisir commence à atténuer la douleur provoquée par la cage de chasteté. Elle bouge lentement, ses mouvements en parfaite harmonie avec les miens.

Le temps semble s'étirer, chaque seconde devient une éternité. Elle me murmure des mots doux, des encouragements, et je sens mon corps répondre au sien, guidé par ses gestes, ses caresses.

Quand enfin elle atteint le point culminant, c'est comme une décharge électrique qui traverse mon corps. Anaïs gémit aussi fort qu'elle le peut. J'attrape mon sexe et fais des va-et-vient, de manière mécanique, sachant très bien que cela ne servira à rien.

Je reste allongé, le souffle court, tandis qu'elle se blottit contre moi, ses bras m'enveloppant. C'est normal que je n'aie pas totalement apprécié, c'est la première fois. Mais ai-je envie de recommencer ? Je ne sais pas.

***

La journée se passe bien, et nous travaillons sur notre exposé comme si rien ne s'était produit ce matin. C'est à la fin de la journée que je reçois un SMS de la part de Maîtresse :

— Anaïs, te baises et tu es resté silencieux. Tu mérites une punition pour ton insolence.

— C'était ma première fois... Comment le sais-tu ?

— Eren, tu dois vouvoyer ta maîtresse. J'ai accès à ton téléphone, à ton micro, et à ta caméra. Je t'ai pourtant appris à gémir correctement.

— Je suis désolé, Maîtresse.

Splinters of FemininityOù les histoires vivent. Découvrez maintenant