«𝗖𝗵𝗮𝗽𝗶𝘁𝗿𝗲 8» : 𝗁𝗎 𝗁𝗎 𝗁𝗎...

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Le soleil se couche à l'horizon, vous êtes fatigués, énormément fatigués. Qu'est-ce qu'elle vous a fait écrire cette horrible prof ! Tu as les doigts engourdis, plus rien ne va.

D'abord, cette attaque du vilain de la pluie pendant le festival d'été, le fait que vous n'aviez toujours pas le temps pour vous allier à Bakugo et à Todoroki puis ces informations qui partagent le fait que des policiers se sont retrouvés inconscients et blessés en-dessous d'un pont, et le renvoi soudain de madame Jun alors que tout allait bien avec elle pendant le premier trimestre !

- T/p, ça va aller pour ta punition ?

Oh oui, et cette fichue punition du gardien tout chauve !

- J'sais pas Izuku, je me sens si dépassée, j'en ai marre !

Le vert reste silencieux pendant un instant, tu t'ébouriffes les cheveux, le front plaqué sur ton pupitre. La situation est en train d'échapper de tes mains, tu as beau te fixer un seul objectif, trouver l'allié du vilain, pleins d'autres problèmes surgissent comme pour te barrer la route.

- Je... commence à dire Izuku, ce soir, je tiendrai kacchan et Todoroki-kun au courant, ne t'en fais pas.

Tu relèves ta tête, ses yeux emplis d'espoir et de cette douce lueur apaisent ton cœur.

- Arrêtes de me regarder comme ça, sinon mon cœur va exploser.

Un rouge poivron s'empare de son visage alors qu'il recule à cause de la surprise.

- Putain on a que neuf ans, quand on va grandir pour que je puisse t...

- T/p ! Dis pas ce genre de choses ! S'exclame Izuku en se cachant le visage à l'aide de ses mains.

- Mais orh, si on peut pas rigoler aussi.

Madame Hawaii tape sa règle contre le grand tableau vert foncé ce qui vous fait revenir dans le monde réel.

- Allez, on sort de classe ! T/p, tu viendras me voir dans la salle des professeurs.

- Madame, tes poings sont fortement serrés en-dessous de ton bureau, j'ai une punition avec Todu, elle doit m'attendre dans le terrain de sport.

- C'est moi qui décide ici, c'est un ordre.

Malgré toi, tu lui obéis. Tu te lèves, toujours les poings serrés, Izuku te partage un regard désolé avant de rejoindre le blond et le bicolore. Tu suis ton enseignante jusqu'à la salle de professeurs, là, elle se laisse tomber sur son fauteuil.

- Quelle chance, qu'est-ce qu'il est confortable ce fauteuil. Oh...

Son regard s'arrête sur la fleur d'iris, celle que vous avez offerte à madame Jun alors qu'elle n'était pas au top de sa forme.

- Hm... bien.

Elle te regarde de haut en bas, avant de faire un bruit de langue montrant qu'elle est déçue de quelque chose. Enfin, elle pointe du doigt ton buste.

- Je ne veux plus voir cette tenue dans l'école, c'est trop léger, j'ai entendu dire que tu l'as portée depuis le début de l'année. As-tu des problèmes financiers ?

- Non, madame.

- Nous, si, et c'est pour ça qu'on ne peut pas se permettre de créer des uniformes, c'est bien dommage, tu ne trouves pas ?

- Oui, madame.

Avec son regard, c'est comme si elle contrôlait ton âme dans son entièreté. Ton être est à la merci de ses longues griffes pointues.

- Gentille fifille, dès demain, je ne veux plus voir cette robe.

- Oui, madame.

- Madame qui ?

Humaine ⁱᶻᵘᵏᵘ ˣ ʳᵉᵃᵈᵉʳOù les histoires vivent. Découvrez maintenant