Izan Sanchez un homme charmant et bien trop beau pour son propre bien, arrogant et froid. Dont les yeux vert émeraude qui pourraient être confondus avec le bijoux lui-même. Sa vie tournait entre meurtre, trahison et trafic de drogue. Qui est le patr...
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Anna Ritchi
J'étais assise sur le fauteuil devant le lit de Luna en attendant qu'elle se réveille, je m'inquiète énormément pour elle, ça fait un moment qu'elle était endormie.
Elle bouge un peu en baillant, elle ouvra délicatement ses yeux, on les grattant, quand elle ouvre complètement ses yeux elle me regarda un moment avant d'essayer de parler, mais je plaça ma main devant mon visage, pour signe qu'elle se taise.
Je l'examine pour voir si elle c'est bien reposer. Et oui, bien commençons la discussion alors.
- Pourquoi? Pourquoi tu as voulu te suicider Luna, je sais que je n'ai pas su te protéger mais je ne veux pas non plus te perdre, t'es la seule famille qui me reste pourquoi tu as fait cela. lui dis-je en la regardant sans aucune expression faciale en faisant bouger ma jambe très rapidement.
Elle fixa un point inconnu, sans pouvoir me regarder, elle n'arrivait pas à répondre.
- Je..j'en pouvais plus, pardon, je suis fatiguée de cette vie de merde Anna! cria-t-elle.
- Ne me crie pas dessus Luna. Tu crois que je ne suis pas fatigué moi de cette vie de merde, que j'encaisse plein de choses, je n'arrive pas à dormir la nuit et plein d'autres trucs que je dis pas. lançai-je à bout.
Je me suis jamais disputé avec Luna, ça serait bien la première fois.
Mais je suis bien trop énervée déjà et elle fait qu'empirer les choses.
Vraiment c'est qu'une enfant ne comprenons pas, elle comprend rien à la vie, moi qui croyais qu'elle serait assez intelligente.
Le suicide, n'arrange en rien la situation putain.
- Mais fuyons alors! Qu'est-ce que t'attends. réponds telle.
- On peut pas! Comment veux-tu qu'on fuit, il y a au moins cent homme à l'entrée et la sortie, comment veux-tu qu'on s'échappe. rétorquai-je.
Vraiment elle me fatigue avec ces idée à la con.
- Je sais pas! cria-t-elle encore.
Fait chier.
- Bah voilà. dis-je.
- Voilà. répéta-t-elle.
Voilà.
Bon.
Qu'est-ce qu'on fait.
- Anna. dit-elle gênée.
- Quoi.
- Tu n'est pas énervée quand même. demande-t-elle hésitante.
Je la regarde un moment puis éclate de rire, puis elle fronça les sourcils et éclata après moi de rire.
