39. L'ombre de la disparition

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Anna Ritchi

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Anna Ritchi

Nous sommes maintenant devant cette maison.

C'était vraiment très moche à voir, la maison était entouré d'arbre, c'est très isolé.

J'ouvrais prudemment la porte grinçante et pénétrais dans l'obscurité de la maison. La poussière flottait dans l'air, donnant une ambiance fantomatique. Les planchers craquaient sous mes pas, ajoutant à l'aura de mystère qui régnait dans chaque pièce.

Enfin entrer nous apercevant ses volets délabrés claquant doucement dans le vent. Je me frayais un chemin à travers les différentes pièces, découvrant des objets abandonnés et recouverts de poussière. Des meubles délabrés, des toiles d'araignées et des murs écaillés témoignaient du temps qui s'était écoulé depuis que quelqu'un avait habité ici.

Soudain, un bruit sourd retentit du grenier. Mon cœur s'emballa et je me figeai sur place, essayant de retenir mon souffle. La curiosité l'emportant sur la peur, je me retourne pour voir d'où viens le bruit sourd.

J'aperçois un petit chaton, poilu roux. Très mignon. Puis il court pour sortir de la petite fenêtre.

Ouf. Il m'avait fait vraiment peur.

- Viens on monte. Il pourrait y avoir des indices. résonna la voix d'Izan, dans la maison.

Sa voix se répétait dans la maison, me faisant frissonner.

J'hocha la tête, alors doucement je monte suivi d'Izan derrière moi, je montais prudemment les escaliers grinçants pour découvrir ce qui se cachait là-haut.

Après être enfin arrivé en haut, je me retrouve face devant une chambre déjà ouverte.

Je pousse doucement la porte de la chambre abandonnée, craignant presque de déranger le silence qui y règne depuis si longtemps.

La poussière s'envole dans l'air dès que je mets un pied à l'intérieur, créant une danse éphémère de particules dorées à la lumière qui filtre à travers les fenêtres crasseuses.

La pièce est plongée dans une semi-obscurité, les meubles recouverts d'une épaisse couche de poussière et de toiles d'araignée. Le temps semble s'être arrêté ici, comme si cette chambre avait été figée dans le passé.

Des meubles anciens, autrefois élégants et raffinés, sont maintenant délabrés et abandonnés.

Je me déplace avec précaution, mon regard curieux balayant chaque recoin de la pièce. Sur une vieille commode, je remarque des photographies jaunies.

Je les prends délicatement entre mes mains, essayant de déchiffrer les visages et les sourires figés dans le temps.

Je voyais un homme aux cheveux brun, et aux yeux bleus.

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