14. Dîner presque parfait

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Anna Ritchi

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Anna Ritchi

- Alors, par où commencer. Lança Diaz sur excitée.

Pourvu que ce carnage finisse, j'en pouvais plus, j'étais assise en regardant les filles, choisir entre deux robes plutôt pas mal, mais sur moi ça serait une catastrophe, ça s'en est sûre.

- la rouge ou la noire ? fut Silvia en faisant une mine réfléchis.

- Demandons à Anna. lui répond Diaz en se retournant en ma direction.

Ça j'en ai aucune idée, je veux même pas partir à ce foutu dîner à la con, qu'elles me demandent aussi de choisir la robe. Elles me regardent insistante, puis je jette un coup d'œil sur les robes en question, je les examine chacun leur tour la rouge est trop vulgaire à mon goût. Elle a un très grand décolleté. Elle arrive juste en dessous des fesses, alors que la noire elle est assez simple, mais très belle à vue, elle a un décolleté carré et assez courte certes mais très belle.

- Je crois que je préfère la noire. murmurai-je tout bas.

Elles applaudissaient toutes contente.

On dirait que c'est le jour de mon mariage, elle me tendit la robe, puis je lui souris faiblement. Je déteste cette soirée c'est décidé. Je prends la robe en main, puis va en direction de la salle de bain pour me changer.

C'est parti, allons voir cette robe noire sur mon corps dégueulasse.

Je m'enferme dans la salle de bain, mais à peine enfermé que Diaz toque à la porte.

- Tiens porte ça avec la robe ça serait magnifique. dit-elle un petit sourire en coin, en me tendant les sous-vêtements en dentelle rouge.

Non, là c'est pas possible, je n'ai même pas encore eu le temps de rétorquer qu'elle me les jeta sur la figure en me laissant planter comme un poteau.

Je suis foutue, on part à un dîner de vieux, pas à une sortie en boîte.

J'avale difficilement ma salive, puis me déshabilla, enfila les sous-vêtements en questions. Me regarda dans la miroir, j'ai jamais porter ce genre de trucs, c'est bien la première fois.

Je me dégoûte de voir les cicatrices sur mon ventre.

Je me débarrasse de ses penser inutiles, prend la robe qui était poser sur la table basse, la regarda un moment avant de l'enfiler délicatement.

Je ne jamais porter de robes, ma mère m'interdisait toujours de le faire, pour raison que j'avais un corps pourrie et décevant, je la décevais tout le temps.

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