18. Jeux

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Anna Ritchi

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Anna Ritchi

- Non ! Non. Hurlai-je en commençant à perdre ma voix

Elle pris un briquet, et aussitôt elle me brûla la cuisse droite, je me mettais à crier, hurler de douleur. Mais son putain de sourire ne faisait que s'agrandir.

- Je marque mon territoire..souffla-t-elle d'une voix de psychopathe.

- Non, non..s'il te-te plaît arrête. ai-je dit la voix briser, les yeux pleines de larmes.

Non, non, non.

J'en peux plus.

- NON ! criais-je en me relevant subitement.

Puis je me relève à une vitesse impressionnante, j'étais sur mon lit, j'avais juste fait un cauchemar.

Je respire très rapidement, ma cage thoracique se relevait à un rythme inexplicable, j'avais des sueurs partout sur le visage, j'avais la respiration haletante.

C'est juste un mauvais cauchemar. Me rassurais-je.

J'ai juste fait un horrible et affreux cauchemar.

J'en pouvais plus de mes cauchemars, ils s'arrêtent plus, mes pensées sombre font apparition.

Mes démons.

Je dois me faire du mal..

Du mal.

Du mal.

Du mal.

J'avais l'ongle dans la bouche, mes dents grincèrent sur celui-ci. J'étais en stresse totale.

Je pouvais pas me faire du mal, je me suis déjà promis de plus recommencer.

Coupe toi les veines..

Les veines.

Je dois le faire.

Non.

Si.

Je sais plus.

Putain, je sais plus, rien.

Je me relève alors subitement du lit n'en pouvant plus, j'avais les mains dans les cheveux en pensant, sans arrêt.

J'avale difficilement, en réfléchissant.

Je dois descendre pour me chauffer du lait, et le boire, ça m'aide toujours à bien dormir.

Papa me faisait toujours ça.

Mais il est plus là.

Alors, j'ouvre doucement la porte, pour ne pas faire de bruit. Faire attention que les autres ne m'entende pas. J'aperçois la porte de la chambre d'Izan entrouverte.

SILENCIOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant