Izan Sanchez un homme charmant et bien trop beau pour son propre bien, arrogant et froid. Dont les yeux vert émeraude qui pourraient être confondus avec le bijoux lui-même. Sa vie tournait entre meurtre, trahison et trafic de drogue. Qui est le patr...
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Anna Ritchi
- Regarde dans la voiture. lança l'homme d'une voix effrayante et glacial, à l'autre bout du fil.
Mon cœur s'arrêta de battre pendant un moment.
La réalité me frappa à plein fouet.
Mes jambes s'activent automatiquement, et cours vers la voiture, je baissa ma tête alors vite la tête pour voir.
- LUNA ?! criais-je.
Elle se retourna instantanément vers moi, les yeux terrifié.
- Oh putain..soupirais-je.
- Je t'ai eu..entendis-je venant du téléphone.
Sale fils de pute.
Je raccroche immédiatement, puis rangea le téléphone, monta dans la voiture côté conducteur.
- Est-ce que ça va ? dis-je fronçant les sourcils face à sa mine terrorisé.
- Il-il y'avait un homme masqué, qui m'avait menacé..e-et il avait mit son couteau juste sur mon cou. dit-elle la voix tremblante.
Oh mon dieu.
Putain, il est fou ce malade.
Là ça c'est sûr c'est ce Damon.
Damon est-ce toi ? Je te jure que si je te retrouvais, je me vengerai.
- Et de quoi il t'a menacé plus précisément ? Lui demandais-je hésitante.
- Il m'avait dit, qu-que de te dire que tu ne lui raccroche plus au nez, ou sinon et il nous tuera tous..tous. m'avoue-t-elle en éclatant en sanglot.
- Non, non, ne pleure pas. Ils nous arrivera rien, je te le promets. Même s'il s'en prend à toi, je te protègerai Luna. Je te le promets. lui murmurais-je les yeux larmoyants.
Elle hocha la tête, en reniflant, et en mettant sa tête sur la vitre froide.
Puis je ferma les yeux un moment, pour reprendre mon souffle.
Et démarra la voiture, pour partir en direction de la maison.
Après une trentaine de minutes nous arrivons.
Enfin, arriver nous descendions de la voiture, puis on entre dans la maison.
Sans attendre Luna monta les escaliers sans dire un seul mots.
- B-bonne nuit. lui criais-je pour qu'elle m'entende.
Elle ne répondit pas, et continua sa marche.
Alors moi, je soufflais de fatigue, n'en pouvant plus de cette soirée.
Si on supprime le moment où moi et Izan nous nous avons embrassé. J'avais jamais ressentie ça auparavant, je me suis jamais sentie terriblement bien, dans ses bras.
