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Brahima a ma porte . Mais quand va t- il me laisser tranquille ?

Ma mère l'a invitée à la maison , et lui a fait un grand câlin . Je suis restée médusé face à la scène .

Ma mère - Entre mon fils !

Brahima - Merci maman ...

J'étais outrée . Outrée

Ma mère - Brahima ma raconte comment tu lui a parler après touts ce qu'il a fait pour nous ? Fanny ...

Je le regarda avec tellement de dégoût . C'était un réel dégoût . J'en revenais pas ...

Mon père - Fanny ma chérie lève toi ...

Mon père m'aida a me relever et pas une ni deux je décida de sortir de la maison . Suivit des pats de Brahima derrière moi . Il me rattrapa dans les escaliers.

Brahima - ATTENDS ! cria t-il

Moi - MAIS QU'EST CE QUI TE RENDS SI CON ? LAISSE MOI TRANQUILLE !

Brahima - C'est ta mère qui m'a supplié de savoir où tu étais pendant 1 mois . J'ai juste cherché à savoir où tu étais j'ai appelé Fatou et elle m'a raconté . C'est touts !

Moi - Brahima s'il te plaît ... laisse moi tranquille

Brahima - J'ai vu tes sappes de luxes partir au balcon mdr . Ça va ?

Moi - Oui je vais bien !

Brahima - Pourtant tu t'est mise avec moi ?

Moi - Si j'étais matérialiste je serai toujours avec toi .

Il souria .

Brahima - Pourtant les meufs de ton genre meurt pour les mecs comme moi je suis le mec de ta dernière chance Fanny .

Moi - Les meufs de mon genre ?

Je comprenais qu'il me prenait pour une désespérée . Vous voyez comment ils se comportent avec des billets . Ils veulent acheter touts ce qui bougent .

Moi - Tu vois Brahima , les meufs de mon genre qui ont grandit loin de la capitale . Entres des longs bâtiments , quand elles traversent le périphérique et qu'elles vont dans la capitale elles se rendent comptes que les mecs comme toi sont pathétiques. Et que tu est minables comparé aux autres .

Brahima - Y'a que toi qui traverse le périphérique pour te faire baiser .

Moi - Tu sais ce qui te rend fou ? Ça te rends fou que je ne veux pas de toi . Toi comme moi savons que je peux avoir mieux que toi .

Brahima - Un mec qui va te faire mieux l'amour que moi ?...

Et il s'approcha de moi , sa présence me dégoûta à un point . Il me dévorait du regard et ça me dégoûtait .

Brahima - C'est moi qui t'ai prit ta virginité, c'est moi qui t'ai emmené dans tes premiers beaux endroits . Tu est à moi .

Moi - Tu pense que sa m'impressionne ? Sérieusement répondis je sèchement. Brahima je ne te connais plus passer ses murs .

D'un coup il prit ma tête et essaya de m'embrasser mais je n'ai pas pu me retenir je lui ai mit une claque tellement forte . Sa joue a fait un tour .

Il me regarda avec un regard noir ...

Brahima - Je dois admettre que tu est une grande folle Fanny . Mais je crois c'est que j'aime chez toi .

Moi - Trouve toi une autre meuf . Passe à autre chose . T'aime les putes maintenant ?

Le cœur de l'argent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant