→ ᴘᴀʀᴛ ғɪᴠᴇ ﹕ ɢᴜɪʟᴛʏ ᴘʟᴇᴀsᴜʀᴇ.

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𝚈𝚘𝚞 𝚔𝚗𝚘𝚠 𝙸 𝚕𝚘𝚟𝚎 𝚢𝚘𝚞
𝙸 𝚕𝚘𝚟𝚎 𝚢𝚘𝚞
𝙸 𝚕𝚘𝚟𝚎 𝚢𝚘𝚞
𝙸 𝚕𝚘𝚟𝚎 𝚢𝚘𝚞 𝚊𝚗𝚢𝚑𝚘𝚠
𝙰𝚗𝚍 𝙸 𝚍𝚘𝚗'𝚝 𝚌𝚊𝚛𝚎
𝙸𝚏 𝚢𝚘𝚞 𝚍𝚘𝚗'𝚝 𝚠𝚊𝚗𝚝 𝚖𝚎
𝙸'𝚖 𝚢𝚘𝚞𝚛𝚜 𝚛𝚒𝚐𝚑𝚝 𝚗𝚘𝚠


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Eddie et Buck, comme ils avaient tous les deux le permis de conduire et une voiture personnelle, n'utilisait jamais les moyens de transport en commun. Pour des trajets courts, ils privilégiaient respectivement une promenade à pied et un tour à vélo. Ainsi, cela leur permettait de s'aérer l'esprit en dehors des heures de travail tout en faisant un bon geste pour l'environnement. Tout le monde y était gagnant, donc. Toutefois, le jour où ils convinrent de passer chercher une boîte de donuts à la boulangerie quelques rues plus loin de chez Eddie, les deux hommes furent rattrapés dans leur projet par une météo désastreuse. Par conséquent, se réfugiant sous un abri-bus, ils décidèrent que la meilleure chose à faire était d'en prendre un pour arriver proche de la maison Diaz sans être trempés de la tête aux pieds.


Tandis qu'ils attendaient l'arrivée du véhicule, on aurait dit deux adolescents à la façon dont ils se regardaient amoureusement. Enfin, ils ne faisaient pas que se regarder, évidemment. En fait, ils parlaient de Christopher et de la soirée pyjama que l'enfant souhaitait organiser à l'occasion de son anniversaire, lequel approchait à grands pas. Mais durant toute la conversation, les pompiers se fixèrent, aucun des deux ne parvenant à détacher son regard de l'autre, tant ils appréciaient la présence de l'être cher et la savourait avec tout leur cœur.


― Voici notre carrosse, déclara Buck en voyant approcher leur ligne.


C'était une bonne nouvelle, car le froid commençait à engourdir leur membre. Par ailleurs, rester debout et immobile durant un moment n'était pas la chose la plus confortable qui puisse exister. La chaleur ambiante du bus, dans lequel il y avait du chauffage, serait certainement agréable pour leurs doigts et leurs orteils gelés. Et comme s'ils avaient eu le même cheminement de pensée, le blond et le brun échangèrent un sourire.


Toutefois, il ne leur fallut qu'une poignée de secondes supplémentaires pour déchanter. Pour cause, le bus semblait plein à craquer. Ainsi, une fois leurs titres de transport en poche, ils durent se faufiler entre les autres voyageurs pour trouver des places libres. À l'arrière, ils finirent par mettre la main sur un siège disponible. En l'absence d'autres options, Buck fit un mouvement de tête à l'intention du père de Christopher, lui indiquant silencieusement de s'installer.


― C'est ridicule, Buck. Tu ne vas pas rester debout alors qu'aux dernières nouvelles, tu es celui dont les jambes souffrent le plus, commença à argumenter Eddie.


― Qui a dit que je resterais debout ? Demanda en retour le jeune homme aux boucles dorées.


Sur de ces mots, il poussa l'ancien militaire sur la banquette, avant de prendre place sur les cuisses du plus âgé. Dans le mouvement, le membre d'Eddie entra inévitablement en contact avec le derrière de Buck. De ce fait, l'homme poussa un faible soupir en passant ses bras autour de la taille de son petit ami. En réponse, le blond blottit confortablement son dos contre la poitrine de l'aîné.


― Qu'est-ce qui se passe ? Interrogea-t-il, tournant légèrement la tête pour jeter un coup d'œil à l'autre homme par-dessus son épaule.


― Disons que... J'ai un problème de taille ? Expliqua Eddie.


Pour appuyer son propos, le brun donna un léger coup de bassin. Aussitôt, Buck frissonna de plaisir. Le bleu de ses yeux semblait avoir changé de couleur, devenant un peu plus sombre, mais Eddie supposa que c'était certainement son imagination qui lui jouait des tours.


― Alors règle-le, souffla Buck, comme si c'était la chose la plus évidente au monde, frottant son postérieur contre la bite durcie de son bien-aimé afin de détailler son propre message.


Ainsi, quelques secondes plus tard, et d'une manière ou d'une autre, le père de Christopher parvint à entourer Buck à l'aide de son manteau. À présent qu'ils étaient tous les deux dissimulés, Eddie écarta un peu les jambes, laissant quelques centimètres entre ses deux cuisses. Ainsi, lorsqu'il baissa légèrement le pantalon de son amant, il eut suffisamment d'espace pour jouer avec le trou de ce dernier, titillant l'entrée à l'aide de ses doigts, qu'il avait préalablement humidifié en faisant mine de se ronger les ongles. Eddie fit glisser un premier doigt à l'intérieur, malaxant discrètement les fesses de Buck à l'aide de sa main libre. Le blond fit semblant de jeter un coup d'œil par la fenêtre pour dissimuler son expression de pur plaisir ; laquelle ne cessa de croître lorsque le doigt à l'intérieur de son corps fut rejoint par un deuxième, puis un troisième. Il se sentait stimulé dans tous les sens, avec les doigts d'Eddie en lui et cette saveur particulièrement qu'avait la possibilité d'être surpris en train de faire ça.


― Eddie, s'il te plaît, chuchota-t-il d'une voix plaintive.


― Tout de suite, cariño, murmura ce dernier en réponse.


Eddie retira ses doigts et Buck dut retenir un gémissement face à la sensation de vide. Pour l'aider à patienter, Eddie déposa une série de petits baisers sur sa nuque, glissant une main dans son pantalon pour en sortir sa bite, qu'il avait jusqu'ici délaissé au profit du plaisir de son petit ami. Un nouveau tour de passe-passe lui permit d'humidifier sa main, et il étala toute la salive sur son membre pour en faire un lubrifiant de fortune – il ne voulait certainement pas risquer de blesser Buck d'une quelconque manière.


Buck sentit la queue du brun se faufiler entre ses fesses, trouvant un chemin jusqu'à son cul. Sans attendre l'avertissement d'Eddie, il prit le membre imposant en lui. Ses doigts trouvèrent sa propre cuisse pour la pincer et retenir des petits cris de plaisir. Un plaisir qui fut renforcé lorsque l'aîné toucha à plusieurs reprises sa prostate. Et tout était si excitant qu'il ne fallut pas moins de cinq minutes à Buck pour venir dans son pantalon, Eddie le suivant de près.


Les deux hommes restèrent dans cette position un moment, échangeant un regard complice, jusqu'à profiter d'un mouvement de masse pour se revêtir de manière « convenable ».


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𝟓 𝐅𝐎𝐈𝐒 𝐎𝐔 𝐄𝐃𝐃𝐈𝐄 𝐀 𝐒𝐀𝐔𝐕𝐄 𝐁𝐔𝐂𝐊 ― buddieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant