À THIANGAYE....
Un acte décisif devait être posé , personne néanmoins ne voulait faire le premier pas .
Voilà qu'au bout d'une heure , une voix éclata :
« Votre attention s'il vous plais ....»
Les têtes convergent dans la direction de la personne en question.
Ce n' était outre que Fanta . Rokhaya désespérément cria sans se soucier des autres .
« Oui ! Je vais le faire »
Fanta ne l'écoute pas, elle continue sa phrase avec un malin sourire.
«...Que tout ceux / celles qui ne font pas partie de la famille quittent les lieux. On voudrait un peu d'intimité à présent. »
Rokhaya souffle de soulagement et s'affolent avec les invités à l'extérieur.
Son instinct maternel l'avait guider vers la place exacte où son fils s'était cloîtrer .
Il était en effet aux cimetière familiale, en plein discution avec clair .Clair : « Quoi qu'il en soit , la pauvre fille ne mérite pas cette peine ...»
Demba : « je suis fatigué ... fatigué d'être une marionnette..»
Clair câlinait justement Demba quand Rokhaya se joignit à eux .
La jeune fille par pudeur prit ses distances et tourne les talons.
« hum , je vous laisse discuter . À bientôt Demba » dit- elle en s'eclipsant .
Demba soupire et croise les bras .
Lui : « Tu n'est pas prête d'abandonner c'est ça ?»
Rokhaya : « Demba , je te supplie les deux mains liés , je peux même m'agenouiller devant toi si tu préfére ...»
Lui : « ha ça non , tu sais pertinemment que je n'accepterai pas une telle chose . Pourquoi tu me condamne ainsi maman , dois je toujours mettre en gage mon bonheur pour le siens ? ce n'est pas juste »
Rokhaya : « Oui ! J'avoue que c'est moi qui a pêcher , que je suis la seule à blâmer , celle qui a arracher un père à une fillette innocente et à des parents, leurs fils mais ce n'était pas intentionnel. Je voulais justement l'ammener à prendre ses responsabilités..»
Lui : « Tu ne fera qu'empirer les choses, la vérité finira toujours par éclater . Le karma est présentement entrain d'opérer : Gabrielle qui vient comme par magie à Thiangaye pour devenir notre hôte ...c'est la coïncidence la plus improbable. Le mieux serait d'avouer la vérité, dis lui que tu as tuer par accident son père , explique lui calmement ce qu'il en ait , peut-être qu'elle prendra en elle et te pardonnera ...»
« JAMAIS JE NE POURRAI PARDONNER À LA MEURTRIÉRE DE MON PÉRE »
clame la voix de Gabrielle qui fait une entrée fracassante, son visage marqué par la douleur et la colère. Les regards se tournent vers elle, tandis que Rokhaya sent son cœur s'arrêter un instant. Elle sait que le moment de vérité est arrivé, et elle se prépare mentalement à affronter les conséquences de ses actes.
Gabrielle avance d'un pas déterminé vers Rokhaya et Demba , son regard brûlant de rage. Elle se tient droite, la tête haute, malgré la douleur qui la ronge.«donc pendant tout ce temps c'était toi la salle meurtriére ?» lance-t-elle à Rokhaya, sa voix tremblant légèrement de colère contenue. «Tu as détruit ma famille, tu as détruit ma vie ! Quand je t- avais demandait la vérité, tu avais oser me regarder dans les yeux et me mentir . Idiote que je suis , je t- avais cru »
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ADIOUMA, mémoire d'une léssiveuse.
Roman d'amour" j'avais toujours cru que les femmes - références sont celles émancipées que l'on retrouve dans les entreprises, sur les journaux , à la télé , au cinéma. Belles , élégantes , capables de bien rouler les R avec les mimiques qu'il faut pour sédu...