6. Spiderman

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-Êtes vous blessé ? me demande l'homme en costume fait maison.

Vêtu d'une veste à capuche rouge sans manche par-dessus un chandail fin a manche longue bleu clair, il porte aussi des gants et de drôle de bracelet. du même bleu, il porte des joggings ou il a recouvert les tibias de bas rouge. il ne porte pas de soulier. sans les bouts de ses doigts a decouvert, jaurais pu dire que ce gamin est noir, asiatique, hispanique.

étrangement, il ne me donne pas l’impression d'être très âgé. peut-être un ado ? on ne dirait pas qu’il est dangereux et pour l’instant, c’est ça l'important. même s’il pose comme un héro, il pourrait très bien avoir de mauvais intention, j'ai vite appris que les héros ne sont pas toujours ce qu’il prétend être.

-c’est moi qui devrais te demander ça, dis-je simplement. Qui es tu ?

-je suis spider-man ! me dit fiermeent le gamin.

Malheureusement pour lui, son masque est un peu lousse ce qui me laisse voir une partie de son visage. Je m'approche de lui et lui enlève son masque.

-EH! sa pas la tête !

ce n’est qu’un gamin. Il ne doit pas avoir plus de 15 ans. ques ce qu’un gamin fait ici a jouer les super heros.

-dit moi, gamin, pourquoi portes-tu un masque ? Être un super héros est censé être le rêve de tous les ados de ton âge. la gloire, l’attention et la reconnaissance… pourquoi te cacher quand tu peux devenir célèbre.

-je veux protéger ma famille…

outch… ce gamin n’a clairement pas eu une belle vie. quelle genre d’enfant pensé au conséquence qu'apporte être un super héros quand il peut être célèbre. même les plus gênés veulent de la reconnaissance…

-Pourquoi ?

-je suis peut etre special mais eu, non.je ne veux pas les mettre en danger.

Je rigole devant cette réponse tout droit sortie d’un comics. je me demande si c'est la qu’il a passé son enfance, dans des livres, autre pars que quand la réalité.

-moi, quand j'ai commencé, me confessais-je, je portais un masque pour ne pas que mes ennemis voient à quel point j'étais paniqué.

Nous rigolons. Il vient s'asseoir à mes côtés et, en silence, nous regardons la ville du haut de la tour.

d’un coup, de la fumé noir commence a apparaitre a environ 700 metre de nous.

-aller gamin, tu as du travail, dis-je en rigolant.

il se lève et me tend la main. je l’accepte et me tient derrière lui alors qu’il ramasse son masque.

-quand tu aura besoin d’aide, si, un jour, tu te blesse, vas au labo d’oscorp, une femme appeller Gwen pourra r’aider. dis lui que tu es…

-spiderman

-dis lui que tu es Spiderman et elle t'aidera. Ne t'en fais pas pour ton identité, elle ne dira rien.

il remet son masque et me salue.

il saute dans le vide et se ratrappe grace a des fils d’araigner.

-spiderman… c’est bien trouvé.

je prends une grande respiration.

-Mavi, je veux que tu avertis le docteur Stacy de Spiderman. analyse aussi la constitution. son poids, sa taille et sa morphologie. Je veux que tu crées un prototype de costume pour lui. un qui le protégera plus que ces vieux vêtements rouges qu’il porte. analyser les vidéos ou il apparait. s'il n’y en a pas beaucoup, attend, elles vont arriver. fait aussi signer un contrat de non-divulgation a Gwen.

-bien mis, en parlant de contrat, le secrétaire d’état a ressorti le traiter que vous aviez écrit pour l’index.

-Pourquoi ?

-vous devriez regarder les infos..

-MAVI j’ai pas vraiment le temps.

un projecteur sortit de nul part commence à projeter sur le mur des images.

-Mavi qu'est ce que c’est ?

-Lagos. une mission des Avengers a mal tourné. une bombe a explosé et a blessé des civils.

-merde… qu’es ce qu’ils foutaient au Nigeria ?!

-ils étaient à la recherche de l’agent Rumlow.

je soupire.

-envoie sur mon portable le traiter… je ne me rappelle clairement pas ce que j'ai écrit il y a dix ans…

je pense à la nouvelle base des avengers et me téléporte sur le perron. je n’ai même pas le temps de songer que la voix de Tony sonne venant de nul part. des hauts-parleurs cachés dans le plafond, brillants.

-Trésor ? Que fais-tu ici…

-j’ai besoin d’une raison pour venir sur ma propriété ?

j’avais oublié ce petit détail. Moi et Tony sommes propriétaire de ce bâtiment. c'était un bâtiment du Shield corrompu par entièrement par des agents d’hydra. On l'a mis a terre et rebâti de A à Z puis c’est devenue une base pour les Avengers.

les portes s'ouvrent devant moi et je m’empresse dans le couloir qui mène à la salle commune. Avant que j’arrive, Tony m'intéresse pète et me pousse dans une salle d'archives.

-Tony ?

Je regarde autour de moi et rigole. des boîtes et des boîtes probablement remplis de dossier.

-Depuis quand es ce que tu as besoin de salle d'archive PaPIeR?

-C'est pas drôle Trésor, c’est toi qui a écrit ce traité ?

-qu-que… comment tu connais sa ? Ross n’a fait que consulter ce dossier.

-j’ai mis le gouverneur sur écoute après ce qui est arrivé à Lagos, je voulais savoir ce qu'il allait faire. répond à ma question.

Tony m'attrappe par les épaules et me tient fermement.

-j’ai écrit ce document il y a longtemps, a cette époque, j'étais directrice adjointe du shield et je m'occupais de l’index, ce document aurait servi à avoir un avantage sur ceux qui possèdent des pouvoirs.

-comment as-tu pu écrire une ânerie pareille ?

-TONY, honnêtement, je ne me rappelle de rien de ce qu’il y a dans ce document. Ce que je me rappelle c'est que, quand j'ai écrit ce traité, j'étais en colère contre hydra qui m’avait kidnappé, j'etais en colère contre mon père, en colère contre le gouvernement, en colère contre… j'étais enragé contre le monde entier et j’avais peur de moi même et de mes nouvelle habiliter.

je reprend mon souffle puis reprend plus calmement :

-j’ai écrit ce document pour avoir la certitude que, si jamais quelque chose de terrible m’arrivait, si jamais je perdais la tête, peu importe où je serais, le gouvernement du territoire ou je serais aurait la capacité de m'arrêter et un endroit pour me retenir. Tout de fois, ce document servait aussi à aider ceux qui étaient … sains d’esprit. je voulais aider ceux qui respectaient les règles et punir ceux qui se rebellaient…

Tony soupire et me lâche les épaules pour, à la place, m’enlacer.

-dans se cas on est dans la merde…

William Amazone Où les histoires vivent. Découvrez maintenant