L'apparence de la raison

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Tu caches ton visage de tes mains et tu pleures,

Comme si tu ressentais une honte d'être presque toi,

Et d'enfin, trouver par la sincérité d'un geste, la plus profonde de tes émotions,

Tes doux traits épargnés du temps et du vent nous sont cachés,

Mais ils sont surtout caché du soleil,

Lève tes yeux délicats, un instant et laisse-nous t'offrir un rayon de nous,

Ta pudeur d'enfant nous offre la tendresse de ton cœur,

Et l'ivresse par les pleurs a parfois soulagé l'âme des enfants mis de côté.

Ainsi, par ces vers, te sens-tu capable d'accepter tes légèretés ?

Qu'est-ce qui t'appartient vraiment ?

Mis à part, tes souvenirs et tes désirs, aussi déchirants soient-ils.

L'amour en noir [Poésie]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant