TARA

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Je me réveil en douceur en sentant une main sur mon ventre, je sais déjà de qui il s'agite. Je regarde l'heure 7h30. J'essaye de me lever sans le réveiller, et décide de descendre lui préparer le petit déjeuner.

Au bout d'une demi heure j'entends un éléphant descendre les escaliers.


Putain, Tara j'ai eu peur. Me dit-il blanc comme un linge.


Peur de quoi, je t'ai dis hier soir que je ne partirai pas pour le moment.


Oui mais tu n'étais plus là quand je me suis réveillé, je me suis dis que tu avais préféré partir sans rien me dire.


Hayden, lui dis-je en me rapprochant, je t'ai dis que j'avais envie de rester, alors maintenant tu vas souffler et t'asseoir parce que je t'ai préparé un petit déjeuner.


Oh... d'accord je te suis mais j'espère que tu ne vas pas m'empoissonner. Me dit-il avec un bisou sur le front.


Je t'ai préparé des œufs, du poulet d'hier soir, et j'ai bien compris que tu aimes particulièrement le café.


C'est délicieux tu es la meilleure merci Blondie.


Je sais que tu voulais m'amener manger dehors mais je n'ai jamais pris un petit déjeuner avant alors je voulais pas t'embêter avec ça. Du coup, je vais aller m'habiller pendant que tu prends ton petit déjeuner.

Je monte vite les escaliers, je ne veux pas le mettre en retard. Je regarde mes habillés et je me vais dans la salle de bain. Vingt minutes plus tard je descends et Hayden est dos à moi à faire la vaisselle.

Si tu le souhaites je peux faire la vaisselle pendant que tu vas te préparer. Lui proposeais-je.


J'ai fini, je vais me préparer et sur part. Par contre je n'ai qu'une moto donc il va falloir que tu mette un manteau moins long.


Je le regarde s'éloigner. Je n'ai pas d'autre manteau. Je le soulèverais pendant le trajet. Attendais je vais monter sur une moto. Mais je ne suis jamais monté sur une moto. Je ne sais même pas commenter fait. La honte je vais encore me taper la honte. Il faut que je trouve une excuse. J'entends les escaliers grimacés. Mais je suis prise de cour quand je le vois descendre les cheveux en bataille, un jean moulant ses cuisses incroyable et un tee-shirt noir moulant ou je vois toute cette musculation incroyable. Il me regarde et je comprends que je le mate ouvertement. Je me tourne et baisse la tête. Je le sens arriver devant moi.


Blondie, je ne veux pas que tu es honte ou que tu baisses la tête devant moi, je sais que c'est quelque chose dont tu n'as pas l'habitude mais je compte bien y remédier. Me dit-il en me pertinent la tête.


Je suis désolé mais il faut que tu sache que je n'ai vraiment pas fais exprès de te regarder. Et je pense que le mieux serait de rester ici aujourd'hui, je n'ai plus très envie de sortir maintenant


Dis moi ce qu'il ya Blondie je ne te jugerai pas au contraire.


Je.... je ne suis jamais monté sur une moto.


J'avais pas de doute sur ça ne t'inquiète pas. Mais il faut une première fois à tout. Allez vient donc avec moi pour ta première fois sur une moto.


Jele suis, il m'explique comment attacher le casque et me donne uneveste en cuire beaucoup plus courte que mon trench immense que j'avais au début. Il démarre et monte sur la moto et m'aide àm'installer derrière lui. Il me tire vers lui pour que j'accrochemes bras sur son ventre et me précise que je ne dois pas le lâcher.


Au bout de quelques minutes je ressens déjà cette liberté, je me sens libre derrière lui sur cette moto. La sensation est extraordinaire.Je le sens accéléré et je l'en remercie car je n'ai pas peur lasur cette moto. Je desserre mes mains, et le sens poser une main surma jambe encore une fois aucuns mouvement de recul pour lui. Noussommes sur une route droite avec peu de voiture, j'aimerai que ce moment ne s'arrête jamais. Je le sens ralentir et s'arrêter devant un magasin et je suis déçu de devoir descendre de cette moto.


Allez princesse il est l'heure de faire griller ma carte bancaire.


Tu sais on peut continuer à rouler si tu préfères, parce que j'ai adoré . Lui dis-je en faisant une moue boudeuse.


Non nous allons faire les magasins comme je te l'ai promis. Tu n'as pas eu peur ?


Non j'avais l'impression d'être libre, je me suis senti encore plus en sécurité vraiment merci. On recommence quand tu veux.


Alors on pourra aller faire une balade en fin d'après-midi si tu veux. Me répondu-il en m'ouvrant la porte du magasin.

Je regarde partout et je suis émerveillé. Je n'ai jamais pu faire les magasins, je le sens se mettre dans mon dos. J'avance et me rend compte que tous le monde nous observons, je ne comprends pas pourquoi. Mais je me dis que c'est de ma faute encore une fois, je vais pour me retourner mais je comprends que l'objet de tous les regards n C'est autre chose que Hayden.

Si les gens te regardent, enfin plutôt moi c'est que je ne sors jamais beaucoup et que je ne permet à aucune fille de m'approcher donc ne t'inquiète pas et fais toi plaisir je reste avec toi.


Euh... D'accord mais je ne suis pas à l'aise du tout avec tous ces regards insistants sur nous. Je ne me sens pas bien.


Que tous le monde baisse les yeux, je ne suis pas un objet MERCI. Cri-t-il dans le magasin aussitôt plus aucune tête n'est tournée dans notre direction.


Merci beaucoup, je me mets sur la pointe des pieds pour lui faire un bisou.

Nous arpentons les rayons, je repère beaucoup de choix qu'Hayden prend à chaque fois, nous nous dirigeons vers les cabines, parce que d'après lui « toutes les filles font des défilés pour avoir l'avis des autres ». Je lui montre plusieurs tenu qu'il valide jamais rien de trop sexy même si j'avoue avoir vu un body en dentelle que j'ai glissé discrètement sous la pile de fringue. J'enfile une jupe en cuir, avec le body et un manteau en cuir. Je me décide à sortir de la cabine pour lui montrer. Et ce que je vois me scotch, il est debout juste devant le rideau lorsque j'ouvre ce dernier. Il me scrute de haut en bas.



Ames sœurs déchus (Devil's Blood T1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant