Chapitre 5

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>> 𝐑𝐈𝐂𝐊 𝐆𝐑𝐈𝐌𝐄𝐒

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>> 𝐑𝐈𝐂𝐊 𝐆𝐑𝐈𝐌𝐄𝐒

La semaine s'est écoulée tellement vite. On est déjà samedi. Lori a pris le temps de mieux connaître Allie et on peut dire qu'elle commence enfin à l'accepter. Judith l'adore et pour ma part, eh bien, je l'aime bien aussi.

Et même si les vacances d'été ont commencés et que toute ma famille est déjà en vacances, j'ai encore une semaine de boulot.

Heureusement, je ne travaille pas le samedi donc aujourd'hui, c'est repos. Je m'assois sur le canapé et allume la télévision pour m'arrêter sur la chaîne d'informations. Il n'est que huit heures du matin, je pense être le premier debout quand j'entends des pas. En regardant vers les escaliers, je vois Judith apparaître avec ma femme, toutes les deux habillés.

- Vous partez ? Je questionne en me levant et en marchant vers eux.

- Oui, ma mère a besoin d'aide pour les courses, Répond Lori en prenant son sac à main. Nous souperons chez elle donc ne nous attend pas pour manger.

- Carl ne vous accompagne pas ? je l'interroge. Il ne l'a pas vu depuis un moment.

- Non, il est sorti courir et il passera à la salle de sport avant de rentrer, dit Lori. Il ne veut pas perdre sa condition.

J'acquiesce en fronçant légèrement les sourcils. Cela veut donc dire qu'Allie et moi allons nous retrouver seuls ?

- D'accord, je réponds en les accompagnant jusqu'à la sortie.

- Sois sage mon cœur, dis-je à ma fille en la prenant dans mes bras pour embrasser sa joue.

- Oui papa.

Je la vois courir jusqu'au garage et monter dans la voiture de Lori. Cette dernière m'embrasse affectueusement avant de partir. Je leur fais signe et ferme la porte. Tous les samedis c'est comme ça, Lori va chez sa mère qui ne m'a jamais apprécié. C'est pour ça que je reste à la maison et me repose. Je monte à l'étage et me dirige vers la chambre de Carl pour demander à Allie si elle veut déjeuner avec moi. Poussant légèrement la porte, je la vois dormir paisiblement alors je la referme pour la laisser dormir.

Je dois admettre que c'est mieux ainsi car depuis son baiser dans la voiture, je me fais des films et fabulent de plus en plus sur elle. Je me sens tellement mal car c'est la petite amie de mon fils et que j'ai une femme mais c'est comme si mon corps n'obéissait plus à mon cerveau quand elle était là.

Mon Dieu, je suis malade.

Je redescends à la cuisine, place une tranche de pain dans le grille-pain puis allume la cafetière. Une fois mon petit-déjeuner terminé, je retourne sur le canapé pour regarder la télévision jusqu'à neuf heures. Je fais ensuite la vaisselle et range ce qui traîne au rez-de-chaussée avant de monter à l'étage.

Je vais aux toilettes et me déshabille pour prendre une douche. En cinq minutes chrono je suis lavé et ressort en enroulant une serviette autour de ma taille. Je quitte la salle de bain et me rends dans ma chambre pour ouvrir ma commode. J'attrape un jean que j'enfile lorsque je remarque que je n'ai plus de chemises. Lori a du les laisser dans la buanderie. Profitant de m'y rendre, j'attrape la manne de linge sales et quitte la pièce.

Dans le couloir, je remarque la vapeur provenant de la deuxième salle de bain du couloir et quelques empreintes de pas d'eau menant vers la chambre de Carl. Je m'approche suffisamment pour remarquer que la porte est entrouverte et quelque chose en moi se tord lorsque je vois l'intérieur.

Allie se tient dos à la porte, ne portant que ses sous-vêtements. Sa culotte est suffisamment fine et transparente pour ne rien laisser à l'imagination et le soutien-gorge en dentelle qu'elle porte est sacrément beau. Elle pose un de ses pieds sur une chaise, pendant qu'elle étale de la crème sur sa peau.

Elle masse ses cuisses d'une manière si sensuelle que mon ventre se contracte. Je veux partir, je veux vraiment partir mais mes jambes ne bougent pas et je continue à profiter de cette vue incroyable. Le sang dans mon corps commence à pomper fortement, se dirigeant directement vers mon entrejambe. Je sens mon membre devenir dur, tandis que mon esprit m'emmène dans des moments coquins avec toutes les choses que je lui ferais à ce moment précis.

- Papa ? la voix de Carl me ramène à la raison et attire l'attention de sa copine.

Elle se tourne vers moi et rougit de la tête aux pieds. Elle ne prend pas la peine de se couvrir et son regard se dirige vers mon entrejambe où apparaît mon sexe gonflé qui longe ma cuisse.

Allie se mord la lèvre inférieure pendant quelques secondes tout en laissant échapper ce qui semble être un léger halètement, ce qui ne fait qu'empirer la situation. Je vois ses seins monter et descendre régulièrement, ses tétons pointant vers moi. Voyant qu'elle veut dire quelque chose, je me retourne et descends les escaliers.

- Oui Carl ? J'interroge d'une voix rauque, en utilisant le panier dans mes mains pour couvrir mon érection.

- Oui Carl ?  J'interroge d'une voix rauque, en utilisant le panier dans mes mains pour couvrir mon érection

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- Rien, je pensais juste que tu étais parti avec maman, dit mon fils en essuyant la sueur de son front. Allie est réveillée ?

- Je ne sais pas, je ne l'ai pas vue aujourd'hui, je mens ouvertement. Je vais aller laver ça, ajouté-je en montrant la manne.

- Laisse-moi faire, je dois laver ces vêtements de sport de toute façon.

Carl s'approche avec l'intention de prendre le panier mais je la tiens fermement, refusant.

- Tu n'auras qu'à les déposer dans la manne de la salle de bains, je dois faire deux machines de toute façon.

Sans lui laisser le temps de répondre, je me retourne en marchant aussi normalement que possible vers la buanderie où j'évacue rapidement l'air de mes poumons. L'érection diminue petit à petit, ce qui me soulage un peu.

Et maintenant, le problème sera de revoir Allie. Elle doit penser que je suis un putain de pervers... Merde.

⚫️ Ça commence entre les deux et Carl qui ne voit rien. Le pauvre 🥲😭

La suite à 8 étoiles 🌟

𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐝𝐢𝐭 | 𝘙𝘪𝘤𝘬 𝘎𝘳𝘪𝘮𝘦𝘴 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant