Tomber amoureux de la petite amie de son fils ?
Quoi de plus cliché ?
On s'attendrait à voir ça dans une série pour ados, pas dans la vraie vie.
Carl a ramené cette fille pour les vacances et naturellement, ma femme et moi avons dit oui...
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>> 𝐑𝐈𝐂𝐊 𝐆𝐑𝐈𝐌𝐄𝐒
Je gare la voiture dans l'allée du garage et ouvre rapidement la porte d'entrée. Allie me sourit en me voyant fermer la porte à double tour.
- Je suis rentré, crié-je pour signaler ma présence. Il y a quelqu'un ?
Je sais que ma femme ne rentre pas cette nuit mais le problème c'est Carl. Ceci étant dit, la maison semble complètement vide.
N'ayant aucune réponse, je me tourne vers Allie et l'attrape par la taille pour l'embrasser à pleine bouche. La gardant contre moi, je manœuvre pour nous faire monter à l'étage. J'ouvre ensuite la porte de ma chambre et la referme derrière nous.
Allie me pousse un peu, me faisant m'asseoir sur le lit pour monter à califourchon sur moi. Je prends une seconde pour admirer son décolleté puis l'embrasse fougueusement en caressant ses fesses sous sa robe. Ses doigts viennent déboutonner ma chemise alors que les miens font descendre la fermeture éclair de sa robe.
Sa langue, forçant mes lèvres, fouille ma bouche avec avidité tendit que sa main s'attaque à ma ceinture. Elle ouvre le bouton de mon jean, que je baisse rapidement avant de lui retirer sa robe. Elle est magnifique. Je reprend possession de ses lèvres alors qu'elle joue avec mes cheveux.
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- Es-tu sûr de vouloir faire ça ? parvins-je à murmurer entre deux baisers.
Elle me sourit d'un air coquin avant de glisser ses mains sur mon torse. Puis, sans même répondre, elle me surprend en me faisant allonger sur le lit.
- Ne me traite pas comme si c'était ma première fois, murmure-t-elle en me chevauchant.
Elle commence à bouger ses hanches, se frottant contre mon érection. Je pousse un soupir de plaisir et la ramène à mes lèvres. Je caresse ses hanches et descends sur ses fesses que j'empoigne. Ses lèvres quittent les mienne pour attaquer mon cou, me faisant gémir. Ses baisers commencèrent à descendre sur mon torse et ma respiration se fait plus lourde.
