Mariana I

Chapitre 6

Mariana

J'ai super bien, je ne pensais pas que la DEA mettrait des lits aussi confortables dans les chambres des infiltrés.

Je ne me souviens pas vraiment de ce qui c'est passé hier à partir de mon troisième verres.

Comment et avec qui je suis rentré ?

J'ouvre immédiatement les yeux paniquer, je ne suis clairement pas dans l'appartement que je devrais être, parce que j'ai vu des photos et tout n'est pas aussi grand et luxueux que ça.

Je me lève de ce lit incroyable, j'aimerais y rester des heures mais je ne peux pas j'ai des choses à faire dont la première c'est de découvrir dans qu'elle maison je suis et surtout la maison de qui et ce qui c'est passé.

J'ouvre les rideaux de la grande bais-vitré de la chambre et bordel de merde... La vu est incroyable, je suis sûrement au premier ou deuxième étage, d'ici je peux avoir une vu magnifique sur tout Los-Angeles.

On est surement dans la rue de Longdale Lane, oui j'ai du apprendre par coeur toutes les rues de la ville, ce qui fait de moi un GPS ambulant de LA

Je sors de la pièce et marche dans un premier couloir, puis un deuxième et un troisième, mais cette maison et toujours plus grande ce n'est pas possible.

Quand je tombe sur des escaliers j'ai le choix entre monter à l'étage supérieur ou de descendre et de m'enfuir le plus vite d'ici, c'est ce que je décide de faire.

Ce salon est énorme, on pourrait loger des tonnes de personnes dans cette maison, mais je ne m'attarde pas plus dessus et commence à enfiler mes talons qui sont apparemment restés dans l'entrée.

Puis je sens une présence derrière moi, avant que je n'ai eu le temps de me retourner je sens un objet froid et métallique sur l'arrière de mon crâne. Cet objet que j'ai tant utilisé ses dernières semaines je peux le reconnaître par cœur. Un putain de flingue.

Quelqu'un est vraiment entrain de me pointé un pistolet sur le crâne parce que je veux sortir d'ici, j'hésite clairement encore me retourner doucement et faire face à cette personne ou lui foutre un coup de pied dans les couilles et prendre le risque qu'elle tire.

J'ai choisi l'option la plus rationnelle, je me tourne est tombe face à Liam Davis. Je rêve je n'est pas vraiment dormit chez lui hier soir, quoi que cela me semble plus logique j'étais dans son bar et je me réveille dans la baraque la plus grande au monde, qui d'autre qu'un chef de cartel pour possédé tout ça.

Ses yeux sont plus noir que le noir lui même, je ne comprends pas vraiment pourquoi il a une haine aussi grande pour moi, mais je ne veux pas le savoir, je dois rester concentrer sur ma mission et penser à ma liberté.

Plus que quatre jours de travail avant de retourner voir ma fille le paradis. Pensé-je

- Tu dis pas au revoir avant de partir de Valencia c'est vraiment mal polie pour une personne qui semble si attachée à la politesse. commence Liam

Moi attaché à la politesse ? Pourquoi il me dit ça je ne comprends vraiment pas ? Alors je fronce les sourcils histoire de lui faire comprendre qu'il doit ce trompé.

- Oh, je vois, tu étais tellement bourré que tu ne te souviens même pas de ce que tu as dit. Remarque Liam à ce sujet

- J'ai dis quoi ? Demandé-je paniqué à l'idée d'avoir dit n'importe quoi ou encore pire avoir révéler des choses sur ma mission, ce qui d'ailleurs serait la seule raison de pourquoi j'avais toujours son flingue sur la tête.

- Comme tu les demandes aussi gentiment, je vais te dire ce que tu as osé me dire Valencia, "Je ne suis pas insupportable, c'est toi qui l'est alors ferme là un peu, et puis dis tu beaucoup de gros mot alors reste poli avec moi". M'annonce t-il.