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TW: Hôpital psy
TW: Trouble mentaux.
( je tien a dire que je ne vois pas les gens qui ont des trouble manteaux comme des « fous » vous êtes très fort et vous avez tout mon respect. Je tien a m'excuser si certain de mes propos vous aurez offenser ce n'est pas du tout mon but ! N'hésiter surtout pas à me le dire si jamais je pourrais être à l'écoute et reformuler ma phrase si jamais et je vous présente mes plus plate excuses si jamais c'est le cas.. )
HAPPY PILS
UN ANS PLUS TÔT.
Devant moi je les voyais, toute les boîte vide de pilule avec dessus un jolie sourire, je voulais voir la vue comme ça. Comme cette pilule. Et arrêter de me soucier de tout. Arrêter de penser à Oda arrêter de penser à la mafia ne plus penser à Chûya. Enfin juste prendre du recul sur ma vie.

La boîte fut vide très rapidement. Et après je commença enfin à avoir la joie de vivre cel qui avais quitter mon corps il y a fort longtemps. Du haut de mes dix-huit ans je pensais déjà à mourir le plus rapidement ou comment sourire à la vie qui était devenue morose pour moi.
Sans couleurs

Elle était noire et blanche. Je vivais dans des ancienne télé, cel qui montrais la vrai couleurs de la vie. Rien n'arrivais à me faire rire ou sourire. Mes tentatives de sucides j'arrivais toujours à les faire passer pour quelque choses de drôle ou ironique pour que personne ne se soucie trop de moi.

Je bandais mes bras aussi pour que personne à part moi puisse voir l'étendu de mes bras meurtri par la vie. Seul une personne arrivais à se soucier de moi et de mon bien être. Oda, c'était lui m'enfin bon.. lui au moins il a eut la chances de pouvoir rejoindre les cieux avant moi. Ango a intérêt à m'aider de partir de la mafia. Il a trahis Oda alors je le jure qu'il va m'aider à vivre selon son idéal.

Beaucoup me dirons « Mais penses a Chûya
il va souffrir de ton départ ! ».

Vraiment ?

Je doute qu'on parle du même Chûya, non la limace n'est pas comme ça. Il est le genre à être heureux si je part. De toute façon la seul personne « embêter » de mon départ serais Mori. La mafia coulera sans moi et ça, il le sais. C'est pour cela que je peut me permettre des choses et que d'autre non.
Il en peut pas me tuer.
Du moindre pas physiquement...
Mentalement, Il l'a fait.

"-J'adore ces pilules.."

Un rire monta à mes lèvre. Si on peut appeler ça un rire c'était plus un « cri » de détresse. Et après comme d'habitude je me souviens de rien. Seulement de moi au dessus des toilettes. J'avais déjà assister à des réunions dans un état bien pire. Mon corps rejeter sans cesse les pilules...
Quel gâchis.
"-Abrutis, arrête un peut tu va finir par te tuer."
.
.
.
"-Comme c'est ironique c'est ce que tu chercher à faire."

Hein... mais je sais ! C'est un ange qui est venu abréger mes souffrances !
Enfin il a était long...
"-Oh oui tue moi..
-Hein ? Mais t'es complètement défoncer le
Maquereau ou quoi ?
-Arh. C'est toi.
-Seigneur tout puissant.... Oui c'est moi abrutis."

Je me releva et alla à la douche. Souvant j'oubliais qu'on habitais ensemble...
Au diable Mori !
Quel idée déjà que nous mettre partenaire était la pire des idées mais nous faire habiter ensemble !? Encore pire !
Mais le connaissant si ça tenais qu'à lui il m'aurais sans doute obligé à dormir avec lui...
Même si on couchais plus ensemble que nous dormons ensemble.
La n'est pas la question.
Je sortis de la douche en survette.
De toute façon il m'a déjà vue sans bandage alors à quoi bon les mettre.
J'en ai pas envie j'ai la flemme je crois.

Cette nuit aller être la dernière que je passais à la «maison » non... enfaite, c'était ma maisons avec Chûya. Il fait parti de la vie d'une certaine manière. Ca me rappelle les fois où on avais laisser l'amour emporté sur la haine.

Recueil D'os soukoku /AkuatsuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant