✯ Under the stars ✯

𝟛𝟞. 𝔽𝕒𝕞𝕚𝕝𝕛𝕒 𝕂𝕖𝕝𝕞𝕖𝕟𝕕𝕚

"Les pires douleurs sont celles procurées par la familles"
~ Pinterest de Maupassant 🫣

🎶 THE GREATEST - Billie Eilish

( Pré- NDA: Préparer vos cerveau, et vos popcorn. 🍿 )

Ariana Demiri.

Mes larmes finissent par couler, et mon propre frère que je n'avais pas vu depuis des mois, vient me rattraper quand j'était sur le point de m'écrouler au sol.

Mes bras s'enroulent autour de lui et je le sers comme si j'était dans un rêve, et qu'il fallait que je le sers pour me prouver qu'il est bien là.

Que mon frère que j'aime plus que tout est en vie, devant moi.

J'explose dans de violents sanglots que je n'avais pas sortis depuis des semaines, je pleure peut-être de bonheur, ou de délivrance.

Erion, mon frère, il était là.

— Respire... calme toi s'il te plait...

Sa voix était un murmure douloureux qui accentue encore plus mes pleurs incessant, je le serrais de plus en plus fort, j'avais l'impression de toucher mon bonheur. D'êtres arriver a l'endroit ou tout va mieux, ou la vie devient plus simple d'un coups.

Ou le simple fait de l'enlacer m'avait fait cracher toute la haine, toute la tristesse et la frustration qui était coincé dans mon corps.

Sa voix qui me manquait temps me répétais de me calmer, mais plusieurs minutes passaient et je ne pouvais m'empêcher de crier la souffrances qui a cohabité en moi depuis si longtemps.

Je savais qu'il m'avait menti, et que quand je saurais la vérité je serais outré. Peut-être que je lui en voudrais, peut-être pas. Mais pour l'instant, j'étais beaucoup plus préoccupé par le moment présent.

— Ariana... s'il te plait respire...

Ma tempe contre son torse qui m'avait l'air mille fois plus stock me laissait entendre les battements de son cœur a un rythme normal. Mais qui me rappelait tous ces moment, ou il était le seul la pour moi.

Celui qui me bouchait les oreilles quand les tirs et les cris m'effrayaient, celui qui s'était sali les mains pour moi, mon sauveur. Ma famille était là.

Au fur et à mesure que je me calmait, j'arrivais à apercevoir mon père assis sur son lit, les deux mains croisées en un poing sur sa bouche et les coude sur les genoux me regardant avec une culpabilité, pitié ou tristesse ? Je n'en savais rien, mais il n'était pas bien.

Je croit que je viens de passer la meilleurs journée de toute ma vie.

Quand mes sanglots finissent enfin a leurs fin, les bras d'Erion m'aident à me relever et une fois ma tête décalée de lui, il détaille mon visage comme si c'était la première fois qu'il le voyait. Les mains posées sur mes joues, c'était comme si j'était l'une des sept merveilles du monde, il me regarde avec tout l'amour et la tendresse du monde. Comme si j'étais l'étoile la plus brillante du ciel.

Je me met à analyser son visage de tous les recoins, il n'avait pas changé, ses cheveux étaient toujours aussi sombres et j'avais l'impression qu'il les avait coupé, ses yeux d'une lueurs froide qu'il avait habituellement c'était adoucis pour moi. J'en étais sûr, il faisait toujours preuve d'une douceur inouïe quand il s'agissait de moi. Ces sourcils aussi sombre que sa chevelure intensifient son regard, qui avait l'air extrêmement fatigué du au cernes qui ornait tout le bas de ces yeux, ils virent presque au violet. Il avait légèrement bronzé, ce qui me prouvait qu'il n'était sûrement pas dans le coin. Il fait toujours chaud dans les alentours des Balkans. Et quand il fait froid, il fait vraiment froid.