𝟘𝟛. 𝕌𝕊 𝔸ℝ𝕄𝕐

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Vibes; Night sky. Hasan oszut.

Ariana Demiri.

Ça fait un jours que Erion est parti, et l'armée Serbe n'a toujours pas refait son apparition.

J'ai peur, très peurs de quand elle reviendras.

Personne pour calmer mes crise, personne pour boucher mes oreilles quand mes main tremble trop.

J'étais dans ma chambre, oui encore, ma couverture recouvrait tout mon corps. Oui, même avec tout se chaud.

J'avais froid, mais je transpirait.

Mes yeux piquait tellement que j'avais pleurer, mon frère me manquait déjà. Et j'avais horriblement peurs de comment je le retrouverais.

Lui et Papa.

Mes yeux s'écarquillent très fort quand j'entend une porte s'ouvrir, c'étais celle de la maison.

Je me paralyse instantanément, complètement incapable de bouger.

Puis, j'entend des bruit de pas, se rapprochant de ma chambre.

Mes yeux se ferment, a deux doigt de laisser une larme coulé, la porte s'ouvre. Et deux main se positionne sur chacune de mes épaule.

J'hurle de peurs en me collant au mur, les main devant moi, recroquevillée sur moi même.

— Ariana c'est moi, Suela !

Mes main se baisse d'un coup, et je saute dans ces bras, je l'entend rire a ma précipitation.

Ça fait très longtemps que je ne l'es plus vu, avec la guerre, sortir de chez sois c'est un suicide.

Mais je sais pas si je vous est dit, mais elle, elle n'a peur que de Dieu.

— Pourquoi tu vient par surprise comme ça ! J'ai eu peur ! M'écriais-je.

Je me décolle d'elle et elle s'assis sur mon lit, toujours avec ce sourire.

Elle étais complètement démaquillée, ses cheveux avais repris ses boucle qu'elle lissait tout le temp. Elle avait un training gris et un teeshirt blanc. On étais quasiment toute habillé comme ça. On a plus rien a se mettre.

Mais malgré tout, elle gardait sa beauté.

— Ça va ? Me dit-elle en ayant toujours le sourire au lèvres.

Je baisse le regard, lui dire que ça va serait le plus grand des mensonge.

— Ça peut aller... et toi ?

— Même réponse, j'ai appris que... Erion est partit...

Point faible, ma gorge se serre et mes larme parvienne a mes yeux aussi vite. Elle le remarque, et me prend dans ces bras encore une fois.

—Désolé...

— C'est rien.. Dit-je la voix cassé.

Elle se détache de moi et j'essuie la larme qui a osé couler aussi vite. Je change de sujet;

— Comment ta fait pour venir ?

Un nouveau sourire parvient a son visage, et elle me répond;

— Les magjup on pas frappé depuis quelque jours donc... (gitan).

Je ricane face au surnom qu'elle leurs a donné, puis, on reste la a parler pendant des heures et des heures...

Pendant le temp de quelque heures, je suis arrivé a en oublier mes problèmes. Mais tout a refait surface quand elle est partie.

✯ Under the stars ✯Où les histoires vivent. Découvrez maintenant