𝟚𝟡. ☀︎

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"Fait confiance au prochain chapitre de ta vie parce que tu en est l'auteur."
~ Barbara Lecomte







Ariana Demiri.

Il se rapprochait, puis il s'en allait, j'avais l'impression qu'ils m'évitent mais qu'ils faisaient exprès de se rapprocher pour me faire du mal.

Il était là, devant moi, me regardant avec un air de meurtriers sans jamais détourner le regard.

Et pourtant, quelque chose avait l'air de me forcer a ancré mes iris dans la lueurs dépourvus de couleurs des siens.

Je n'arrivais pas à crier, et lui avait l'air de ne même plus savoir ce que faisait l'effet de "parler".

Il ne parlait pas, il me regardait juste.

Une seule pensée était là pour emprisonner mes pensée, un seul mot qui courait de chaque cotés de mon cerveau.

Pourquoi?
Pourquoi?
Pourquoi?

Mon cœur s'arrête de battre quand sa silhouette disparaît brusquement dans l'obscurité, mais je n'est pas un seul instant de plus avant que plusieurs mains m'attrapent.

Des bras et mains s'enroulent autour de la taille, me tirant à grande vitesse dans un endroit inconnu.

J'ouvrais la bouche pour crier, mais aucun songs ne sortait. Chaque mélodies de ma voix était voilée par celle du silence.

Mon dos heurte subitement une surface solide, j'ai mal, très mal. Mais je n'ai pas le temps de m'apitoyer sur mon sort parce que mon poignet, ma taille, et mes chevilles se font menottées par des mains imaginaires.

Enfin, imaginaires, je ne suis même pas sûr de ce que je pense.

Je me débats, je hurle mais personne ne m'entends.

Personne n'entends ma détresse.

Puis des mains qui m'avaient l'air immense se mettent a me toucher, déchiré mes habits et à me caresser violemment.

Ce n'était pas des caresses, enfin si, mais pour moi c'était des griffures.

Des griffures donnant les traces de mes cauchemars.

Puis, plusieurs flash s'allument autour de moi, comme s'ils me prenaient en photo.

Les esprits me faisaient du mal tandis que leurs amis capturaient leurs bonheur. ,

J'essaye de bouger pour me cacher, mais ces mains m'en empêchent.

Une silhouette sort de la foule, ayant un téléphone qui me photographiait toujours.

Je lui hurle de m'aider, mais aucun son ne parvenait à sortir de ma bouche, pourtant, les chuchotements remplis de jugement de ses inconnues était des murmures dans ma tête qui caressait atrocement mes oreilles.

Puis, quand il décale légèrement le téléphone, c'est lui que je vois.

Celui qui m'a filmé.

Son regard était presque inhumain, sa tête hochée vers le bas et ses yeux sombres me fixant le regards indifférents de toutes émotions, à part d'une, la haines.

Mais il continuait à appuyer pour m'éblouir des flash.

Je hurle de toutes mes forces, mais toujours rien, rien ni personne ne voulait m'aider.

✯ Under the stars ✯Où les histoires vivent. Découvrez maintenant