Je sais qu' ils m' ont toujours désirés...

21-Oui, oui, oui !

Benjamin

Je suis retourner à la maison une fois mes parents ayant quitter le quartier en voiture, leur faisant un dernier signe de la main. Lya était en train de finir de ranger la vaisselle dans le lave vaisselle. Elle avait dit au revoir à mes parents à la maison, me laissant profiter seul avec eux des derniers moment. Et aussi, elle n' aimait pas les au revoir, surtout avec les gens qu' elle apprécient beaucoup et en plus avec la grossesse, elle est encore plus émotive, alors ça avait été un peu plus facile pour elle de rester ici.

Je l' à regardais, souriant bêtement, ce qu' elle est belle, je suis fou de cette femme, cette femme qui sera la mienne.

- Mon coeur ?, je te montre la chambre fini ?

Oui, j' avais demander à Lya de ne pas venir voir la chambre de notre fils avant que celle-ci ne soit entièrement monter.
Elle avait à peine vue le lit terminer et Lucas qui était en train de monter la commode, lorsqu' elle nous avaient ramener des bières et cela faisait partie de mon plan préparer.
J' avais installer le lustre, un nuage avec un joli petit ange dessus, il était trop beau, j' avais craquer dessus et Lya avait trouver ça trop mignon. Le rendu est vraiment magnifique, j' ai hâte qu' elle le découvre.

- Oui mon cœur, j' arrive, me disait-elle en mettant en route le lave vaisselle.

Elle venait vers moi et je lui tendais la main. Je l' à ramenait auprès de moi et l' à prenait dans mes bras, l' embrassant tendrement.

Que je l' aime.

- Non pas que je m' en plaigne monsieur Pavard, me disait-elle en souriant, mais que me vaut ce délicieux baiser ?

- Juste comme ça, lui dis-je avec douceur, parce que je t' aime.

- Je t' aime aussi Benjamin, je t' aime tellement.

On s' embrassait de nouveau et on allait ensuite, main dans la main à l' étage, retrouver la chambre de notre fils.

- Ferme les yeux mon cœur, lui dis-je doucement alors que je me mettais derrière elle pour la prendre dans mes bras.

- OK, disait-elle en passant l' une de ses mains sur mon bras.

Je l' embrassais dans le cou avec tendresse et ouvrait ensuite la porte.
Je l' aidais à avancer, mes bras toujours autour de sa taille, de son ventre, entourant ma future femme et mon fils.

- Vas-y, tu peux les ouvrir, lui dis-je doucement.

- Oh !, c' est magnifique !, mon cœur c' est..., disait-elle en se retournant vers moi.

Elle avait les larmes aux yeux, elle était vraiment émue.

Je l' embrassais.

- C' est magnifique, me disait-elle de nouveau. Il va être trop bien notre fils ici.

- Oui, oui il sera bien.

Je l' embrassais de nouveau et elle faisait le tour de la chambre.
Elle regardait le lustre, je souriais.

- Il rend trop bien, disait-elle en faisant le tour.

- Oui, il pourra faire de beaux rêves, un ange le protégera, lui dis-je avec douceur.

Elle continuait son tour dans la chambre, passant à côté de son lit, mettant sa main sur le dessus, carressant le bois. Elle allait ensuite vers le meuble à langer, puis, elle allait ensuite vers le meuble qui m' intéressait pour ce que j' avais préparer.