27-On est tous avec vous...

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Benjamin

21 heures 55, mercredi 17 juin, ce moment où tout s' est terminer.

.....

Il est actuellement 1 heure 26 du matin.

Mon téléphone n' a fait que de vibrer dans ma poche et je l' ai éteind après avoir lu les messages.
Mes parents sont dans la salle d' attente de du service de maternité et ils ne sont pas seuls. Mes coéquipiers, mes amis, Lucas, Kylian, Corentin, Théo, Antoine, Kingsley, Olivier et Laura sont ici.
Mon père m' à emmener à l' hôpital, celui où Lya avait été emmener après l' accident.

Flash-back, 21 heures 35

Lya est arriver à l' hôpital, transporter par les pompiers, inconsciente.
Le service des urgences l' à emmener aux services de la maternité pour un accouchement par césarienne. La vie de notre fils était en danger, tout comme la sienne.
Elle a été prise en charge de suite, emmener en salle d' opération, et c' est là, qu' à 21 heures 55, j' aurais dû être le plus heureux des hommes avec la naissance de notre fils.

Mais non, je suis arriver à l' hôpital, dans les services à 22 heures 17, son père était dans le couloir, à genoux, sa tête entre les mains.

- Non !, non !, pas Lya !, disais-je en perdant mes moyens et tombant presque à genoux.

Mon père me rattrapait et essayait de faire bonne figure à mes côtés mais il était aussi dévasté que moi.
Le père de Lya relevait la tête, nous ayant entendu. Il est venu à nos côtés.

Je m' étais effondrer au sol, à genoux, mon père à mes côtés.
Son père s' est mis à ma hauteur.

- Pas Lya !, s' il vous plaît, dites-moi qu' elle va bien !

- Je suis désolé mon grand, disait son père avec un calme déconcertant.

- Non !, non !, dis-je en pleurant de nouveau.

- Lya à subir une césarienne d' urgence, le, le bébé était en danger. Je suis désolé Benjamin, il...

Je le regardais, imaginant très bien ce qu' il allait me dire, mais je refusais de l' entendre.

- Il n' a pas survécu.

- Non !, non !, mon fils !, notre fils !

Je m' effondrais, mon père en pleurs à mes côtés, essayant d' être fort pour nous deux. Je pleurais, je hurlais le prénom de mon fils.
Dans le service, tout était en pause, les infirmières et autre personnel médical était silencieux, triste pour certains, regardant la scène qui se déroulait sous leurs yeux.

A ce moment là, ma mère et Laura passait la porte du service.
Elles se sont arrêter en nous voyant là, au sol, en train de pleurer, moi à agoniser de chagrin.
Le père de Lya était debout, à côté.
Laura s' est précipitée dans mes bras, se mettant au sol. On a pleurer ensemble.
Ma mère est venue auprès de mon père, il s' est relevé et l' à prise dans ses bras.

Il lui a chuchoté à l' oreille, son visage près du sien.

- Liam n' a pas survécu.

Et elle a pleurer aussi, dans ses bras.

Puis, j' ai sentit deux paires de bras costaud me serrer aussi dans leur bras.
Corentin et Théo, qui n' était pas titulaire ce soir était là, à mes côtés, venus de suite quand ils m' ont vu partir.

Je sais qu' ils m' ont toujours désirés...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant