- 𝐎𝐏𝟖𝟏 ; Oscar et Romane
Le bruit des vagues et
les lever de soleil,
encore un peu bourrés.
L'écho de ton rire et
celui de ton cœur,
restent mes préférés.
20.07.2024 - 20.09.2024
Cette histoire n'est pas une chronique.
[terminée, en sessi...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
ও ROMANE — 2024 | Monaco
Messages :
De L4ndo : Ça fait déjà dix minutes que je t'attends, tu devrais sérieusement te bouger. J'espère que tu as une bonne excuse à me donner
Je grimace devant l'énième message du pilote.
C'est sûr, si je n'arrive pas dans les deux minutes qui suivent, je vais le regretter dans l'heure suivante sur le terrain !
Je termine d'enfiler ma paire de sneakers et récupère mon sac de sport posé sur le sol, derrière mon canapé. Je prends mon téléphone et mes clés au passage puis reclaque la porte de mon appartement juste derrière.
Pas le temps d'attendre l'ascenseur, je prends les escaliers en guise de premier échauffement.
Je pousse la porte des escaliers et traverse le hall d'entrée jusqu'aux portes en verres qui s'ouvre devant moi.
Je trottine jusqu'à la voiture du pilote, je remarque la présence d'Amaya sur le siège avant de ce dernier. Je lui fais un signe de la main qu'elle me rend en souriant.
J'avance vers l'arrière de la voiture et laisse mon sac dans le coffre. La porte se referme automatiquement. Je monte dans la belle voiture du numéro quatre.
— Coucou mon pilote préféré ! Dis-je en souriant. Coucou, 'Maya ! Alors comment va mon super binôme de paddle ? On va encore gagner aujourd'hui, je le sens !
Lando me fixe, une main sur le volant. Je continue de lui sourire, comme si que je n'avais pas douze minutes de retard. J'attache ma ceinture de sécurité.
Le rire d'Amaya résonne à l'avant de l'habitacle.
— Tu as de la chance que nous sommes déjà assez en retard et que je n'ai pas le temps de te faire payer ton retard, tout de suite.
— Tu ne feras rien, dis-je en haussant les épaules. Tu ne mets jamais tes menaces à exécution. Là tu devrais partir parce que c'est toi qui nous mets en retard en me fixant de cette manière !
— Elle a raison, souffle la brune installée sur le siège devant le mien.
Il appuie sur l'accélérateur et mon dos se retrouve doucement plaqué contre le siège en cuir.
— Comment tu vas 'Maya ? Je suis trop contente de te voir, dis-je en me penchant en avant pour la voir par-dessus le siège.
