- 𝐎𝐏𝟖𝟏 ; Oscar et Romane
Le bruit des vagues et
les lever de soleil,
encore un peu bourrés.
L'écho de ton rire et
celui de ton cœur,
restent mes préférés.
20.07.2024 - 20.09.2024
Cette histoire n'est pas une chronique.
[terminée, en sessi...
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ও ROMANE — 2024 | Monaco
Vers minuit alors que l'orage gronde dehors, je cours le long de la pièce de réception, poursuivie par plusieurs pilotes de F1. Je suis morte de rire alors que la voix de Charles me hurle une nouvelle fois de me stopper.
La raison de cette soudaine course poursuite ? J'ai perdu à un concours de shooters qui m'opposait à Charles, Lando, Pierre et Max. Il n'y a que les trois premiers qui me poursuivent pour me faire vivre ma sentence, tandis que j'aperçois Max plus loin qui lui, attend patiemment que je me fasse attraper.
— Vous êtes des grands malades ! Dis-je tout haut. Je n'irais pas dans cette piscine alors qu'il fait de l'orage !
— Tu as accepté la sentence comme nous tous avant de commencer ! Lâche Pierre.
Je sens la fatigue augmenter au fur et à mesure que j'essaie d'échapper aux garçons. J'ai l'habitude de courir plusieurs kilomètres sans jamais me plaindre mais actuellement, je cours avec des talons qui me blessent les pieds.
— Les gars, ça va mal finir cette histoire, lâche Lune proche de nous.
— Oscar aide moi, s'il te plaît !
Je ralentis et me faufile entre lui et le bar. J'enroule mes bras autour de son ventre, le visage plaqué contre son dos, je me tiens le plus fort possible pour éviter que l'on m'en décroche.
— Oh la mauvaise stratégie, souffle Lando en riant.
— Tu vas embarquer Oscar avec toi, répond Charles. Je suis désolé pour toi mec.
Charles est celui qui essaie de me défaire d'Oscar. Ses bras autour de mes hanches, je quitte le sol mais ne lâche pas me prise sur le pilote australien, j'éclate de rire. Oscar tente de me retenir de son côté.
— Je ne soigne pas une blessure, dit Amaya pas loin de nous.
Je pousse un cri lorsque Max vient aider Charles pour me défaire d'Oscar. Je lâche le pilote pour lui éviter une mauvaise chute, je me débats dans les bras des deux pilotes jusqu'à réussir à poser les pieds sur le sol.
— Lâchez moi !
Je me retiens sur les bords d'une porte mais ça ne dure pas longtemps. Charles retient mes jambes et Max le haut de mon corps en se dirigeant vers la sortie de l'endroit.
— Vous allez tellement le regretter, dis-je en croisant les bras contre ma poitrine, les sourcils froncés.
— Je sais pas si c'est une bonne idée Charles, dit finalement Max en ralentissant au niveau de la double porte.
