- 𝐎𝐏𝟖𝟏 ; Oscar et Romane
Le bruit des vagues et
les lever de soleil,
encore un peu bourrés.
L'écho de ton rire et
celui de ton cœur,
restent mes préférés.
20.07.2024 - 20.09.2024
Cette histoire n'est pas une chronique.
[terminée, en sessi...
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ও ROMANE — 2024 | Miami
J'ouvre les paupières et la première chose que j'aperçois est mon bras étendu sur un torse, qui se soulève régulièrement.
Lorsque je relève les yeux, je découvre le visage endormi d'Oscar proche du haut de mon crâne. Il semble être dans un sommeil profond et paisible.
Je bouge légèrement la tête, positionnée sur le torse du pilote, son bras gauche dans mon dos, sa main repose sur ma hanche.
La sensation de son corps chaud contre le mien est particulièrement agréable. Je n'ai pas le souvenir d'avoir été réveillée par un énième cauchemar ces dernières heures, j'ai même l'impression d'être reposée comme je ne l'ai jamais été !
Je ferme les paupières en me faisant la réflexion qu'aucun réveil n'a sonné pour le moment, nous avons sûrement encore quelques minutes devant nous avant de commencer cette journée de qualifications.
Aucun réveil n'a sonné.
— Oh putain, dis-je en m'asseyant dans le lit, la main d'Oscar sur mon ventre.
Je me saisis de mon téléphone et mes yeux s'écartent en voyant l'heure qui s'affiche sur l'écran. Je devais rejoindre les filles pour le petit déjeuner il y a plus d'une heure et je dois être au circuit dans moins de vingt minutes pour le début de ma journée !
Lune et Amaya ont tenté de m'appeler chacune deux fois, m'ont laissé quelques messages aussi.
Messages :
À Votre groupe : Problème de réveil. Je suis désolée ! Je risque d'être en retard mais je fais mon maximum. On se voit au circuit, bisous les filles
— Oscar ! Dis-je en lançant mon téléphone dans le lit. Je suis complètement en retard, il faut que tu te réveilles, je suis désolée.
Oscar pousse un petit soupir en se tournant dans le lit, un bras toujours positionné autour de mon dos.
— Osc.
Je dégage une mèche de ses cheveux qui retombe sur son front.
— J'ai entendu. Laisse-moi deux minutes et je serais vite parti, lâche-t-il d'une voix encore endormi et plus rauque qu'à son habitude.
Je mord doucement ma lèvre.
— Il est huit heures, dis-je en poussant son bras de mon dos.
