- 𝐎𝐏𝟖𝟏 ; Oscar et Romane
Le bruit des vagues et
les lever de soleil,
encore un peu bourrés.
L'écho de ton rire et
celui de ton cœur,
restent mes préférés.
20.07.2024 - 20.09.2024
Cette histoire n'est pas une chronique.
[terminée, en sessi...
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ও OSCAR — 2024 | Monaco
— Oscah.
La voix basse de Romane résonne non loin de mon oreille, ses doigts effectuent des caresses entre mes deux omoplates mais je n'ouvre pas les yeux pour autant, en réalité, je profite du réveil en douceur, qu'elle m'offre.
— J'ai préparer le petit déjeuner et j'ai vraiment trop faim.
Son haleine mentholée s'infiltre dans mes narines lorsque ses lèvres déposent des baisers sur le côté de mon visage.
— C'est dingue d'avoir un sommeil aussi profond... souffle-t-elle à voix basse.
Je sens qu'elle s'échappe et je regrette presque de ne pas avoir fait l'effort d'ouvrir les yeux ou même bouger pour la garder proche de moi.
— OSCAR ! RÉVEILLE TOI !
Les pieds de Romane saute sur le matelas dans mon dos, j'expire bruyamment et plaque l'oreiller contre ma tête. Les sauts de la petite brune deviennent de plus en plus proches.
— Allez Osc, Osc ! Il est l'heure !
Je me tourne et empoigne ses cuisses entre mes bras, elle pousse un cri, suivi d'un éclat de rire lorsque je la plaque contre le matelas. Elle essaie de se débattre afin de s'échapper de ma prise mais je bloque ses bras contre sa poitrine.
— Oscah !
— Comment est-ce que l'on peut avoir autant d'énergie dès le matin ? Je demande en fronçant les sourcils.
Les muscles de mon dos me tiraille dans cette position, les pommettes de ma brune deviennent cramoisies et elle mord délicatement sa lèvre.
Romane retire l'une de ses mains de ma prise et repousse mes cheveux vers l'arrière, certainement complètement en désordre.
— Ce n'est pas seulement le matin, il est onze heures, souffle-t-elle. Et j'ai trop faim !
Je pose mon front contre son ventre durant quelques secondes puis décide de me relever en dehors du lit. Romane se lève dans son lit pour en sortir mais je la devance, je bascule son corps contre mon épaule.
— Oscar sérieux !
Je passe la porte de sa chambre, les mains chaudes de Romane se retiennent contre la peau de mon dos. Je souris doucement.
