ꚰ CHAPITRE 28: Les retrouvailles

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« Quand l'on investissait en quelque chose, il fallait s'attendre à recevoir le double », était communément l'un des dictons favoris du père de Corpius : Septo Seven

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« Quand l'on investissait en quelque chose, il fallait s'attendre à recevoir le double », était communément l'un des dictons favoris du père de Corpius : Septo Seven. Le respecté Chef de la glorieuse entreprise de la Seven Industry, et qui s'évertuait à répéter d'aussi loin que Corpius se souvenait depuis son enfance en s'amusant à partager communément lors des occasions mondaines. Prenant une gorgée de sa boisson avec élégance, sous les éclats de rire de son entourage enjouée destiné aux personnalités importantes face au dicton de Septo.

En entrant de nouveau dans la grande salle et reconnaissant la phrase résonner dans la voix de son père, Corpius entendit que cela avait bel et bien provoqué cette même première réaction enjouée de la part des invités. Un rictus était apparu parallèlement sur les lèvres du jeune homme.

Car il y croyait fermement.

C'était ainsi que Corpius fonctionnait. Il considérait qu'en faisant une action, il s'attendait à en recevoir une autre.

Meilleure.

Digne de ses attentes.

Il voulait recevoir ; Émettre quelque chose de Tom Lior à lui.

En lui offrant la moto qu'il convoitait du club de mécanique, Corpius s'attendait effectivement que ce dernier ne le considère autrement. Qu'il puisse le tolérer, se comporter plus calmement à son égard, souriait Corpius en entendant son nom être fièrement résonné par son père.

- Septo, je suis impressionné. Ton fils a aussi fière allure que toi.

- Ne te méprends pas, Hector. Il est bien meilleur que moi.

Des sourires bienveillants étaient dirigés entre les deux blonds platines, aussi éblouissants l'un que l'autre fidèle à la popularité de la famille Seven.

Corpius jeta un coup d'œil à l'entrée de la salle, attendant de voir quand Adar reviendrait.

Il ne regrettait pas de lui avoir laissé de l'espace. Le Tom Lior d'aujourd'hui était une personne qui ne voulait pas de comportement superficiel, ainsi c'était la meilleure méthode qu'il lui était venue en tête de le laisser seul. Une question néanmoins planait à travers l'esprit de Corpius :

Qu'est-ce qui aurait pu provoquer à une personne aussi forte une réaction pareille ?

Les sourcils d'Adar s'étaient froncés.

Il venait d'apprendre un élément essentiel.

Sans doute l'information la plus importante qu'il avait pu entendre depuis qu'Adar était coincé dans cette situation.

« Le mec de la voiture qui m'a rendu comme ça est le Monstre de Mancheztar. »

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