ꚰ CHAPITRE 24: Incontrôlé

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Corpius fût étonné de la douceur de Tom Lior depuis son retour à l'académie, lui offrant un visage sympathique, et non de colère

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Corpius fût étonné de la douceur de Tom Lior depuis son retour à l'académie, lui offrant un visage sympathique, et non de colère. Cela lui faisait prendre conscience que le noiraud ne lui avait encore jamais partagé auparavant de par sa réponse compréhensive et encore une fois, terriblement honnête. Sincère.

- Bon, je crois que je vais rentrer maintenant. Merci pour le coup de main.

- Bien-sûr. Tiens moi au courant de tes révisions, je vérifierais où tu en es plus tard.

- Ça marche.

Corpius s'était adossé en croisant les bras à l'encadrement de la porte d'entrée en observant Adar s'éloigner au milieu des villas et traverser le portail doré en adressant quelque mots au gardien, puis finalement disparaître définitivement de son champ de vision pendant que le tonnerre s'était mis à gronder dans le ciel.

Quelque jours s'étaient écoulés depuis, laissant place aux pluies d'automne. Adar essayait de prendre davantage de temps pour revoir certaines copies qu'il avait travaillé avec Corpius entre ses heures d'exercices sportifs.

Eliott ne lui avait plus adressé la parole pour lui partager une quelconque provocation, évitant de croiser son regard depuis l'incident du parking du club de mécanique en compagnie de cet idiot de Théodore George.

Adar supposait qu'Eliott Lior commençait à prendre conscience de sa situation, d'une certaine manière. Et pouvait potentiellement se sentir complexé après avoir pris conscience à la suite des réponses violentes d'Adar au harcèlement qu'il subissait une probable remise en question de son côté ? Enfin... C'était ce qu'Adar supposait. Eliott avait tenté malgré tout d'empêcher un quelconque début de confrontation, ce qui était une preuve qu'il commençait, d'une manière ou d'une autre à comprendre qu'il valait mieux le laisser tranquille.

Sans s'en rendre compte, Adar sentit son épaule rencontrer celle d'un blond décoloré brutalement. Théodore George.

- Putain, Lior. Ton coma t'a fait perdre la vue ?

Ok.

Adar commençait vraiment à en avoir marre.

- Et toi ? Ta mère t'a accouché par le trou d'balle ?

Pas une seconde de plus, et un coup de poing s'était levé pour fracasser le visage du corps qu'il ne lui appartenait pas où se trouvait Adar, que le noiraud esquiva avec facilité avant de poursuivre.

- C'est pas comme ça qu'on fait. Mais comme ça.

Adar avait balancé à son tour un énorme crochet du droit à Théodore.

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