THE REAL BITCH I

Chapitre 38

Ivan se tient derrière nous, le regard noir très énervé. Il me regarde longuement puis regarde son père. Ivan nous dépasse sans nous adressé un seul mot, la porte de notre chambre claque aussi. Le bébé pleure soudain. Génial ! Merci Ivan !

— Laisse je m'occupe du bébé va voir Ivan il n'a pas l'air bien.

Me lance Anna. Je me dirige simplement à la chambre. Ivan se tient près de la fenêtre en chemise et un verre à la main. Je m'assoie sur le lit en croisant les jambes.

— Es ce que tu m'aimes Erin ?

Sa question me surprend tellement que je reste une seconde sans réagir je décroise même les jambes. Quoi ?

— Pardon ?
— Réponds à ma question !

Hurle t'il soudain. Je me lève prête à décamper pas le temps pour ses bêtises. Il me demande si je l'aime ? Il est sérieux ce con ?! Je fais mine de sortir mais Ivan me tire brusquement le bras et son visage ravagé de rage se rapproche du mien.

— Tu baises mon père ?!!

J'ouvre la bouche de nouveau. Il est taré !

— Lâche moi !
— Pourquoi tu ne me réponds pas !
— Lâche moi putain tu me fais mal !

Ivan soupire bruyamment et me lâche.

— Tu passes ton temps avec lui, il te tient dans ses bras comme si tu étais à lui. Qu'est ce que je suis pour toi Erin ? Je ne te comprends plus ! Tu ne m'aimes plus c'est ça ?!! Dis le moi !

Ces cris devraient me faire reculer mais je n'ai pas peur. En fait j'ai compris et d'un côté il a raison, je ne le calcules presque pas, je ne fais pas exprès entre le bébé et Maxim je suis épuisée j'avoue que je me suis plus rapprochée d'Andreï car il prend un peu Maxim en charge ce qui me libère un peu. Je comprends qu'Ivan soit occupé au boulot et quant il rentre il nous voit tout les trois réunir à la table à manger. A sa place j'aurai eu la même réaction. Mais faut pas abuser.

— Ivan je t'aime et je t'aimerai toujours. Arrête de te faire des films pour rien, tu es mon mari que j'ai envie de baiser là tout de suite. Ton corps me manque, tes baisers aussi...Et la prochaine fois que tu me traites d'infidèle je te castre.

Ses yeux quittent les miens pour se poser derrière moi, il vide son verre sans grimacer. Je déboutonne ma chemise lentement, ses yeux se posent sur ma poitrine maintenant nue. Ses dents se serrent.

— Je n'ai pas envie de ça.

Je ne dis rien et continue de me déshabiller, je reste en string. Je m'approche d'Ivan et prend sa tête pour l'embrasser. Au début il ne réagit pas, j'insiste et mes efforts payent il ouvre la bouche et sa langue retrouve la mienne. Je gémis bruyamment car il m'a manqué.

Soudain il me soulève dans ses bras, mes jambes entourent sa taille. Nos lèvres semblent vouloir ne pas se lâcher, ça ne me dérange pas. Ivan me colle contre la porte de notre chambre il cesse notre baiser pour déboucler sa ceinture.

— Non attends. Assois-toi sur le lit, je veux que ça soit spécial...

Je chuchote ces mots en regardant Ivan dans les yeux avec beaucoup de sensualité. Une flamme brûlante s'allume dans ses yeux, il m'embrasse en me décollant du mur. Il s'assoit sur le lit, je descends de ses genoux et me dirige vers mon dressing.

— Erin.

Je sourie sans lui répondre et ferme la porte. Je fouille dans mes tiroirs et sors une lingerie noire en cuire avec des fils sur la poitrine, des jarretelles... j'attrape un fouet en lanières. En dessous je mets des bas fixés aux jarretelles avec des talons aiguilles noirs. Je mets un rouge profond sur les lèvres.

Lentement je sors du dressing, les yeux d'Ivan se porte tout de suite sur moi, il se pince les lèvres en analysant ma tenue avec beaucoup d'intérêt. Ça fait des lustres qu'on a pas fait l'amour et le sentir en moi avec ce désir qu'on avait avant me manque je mettrai tout en œuvre ce soir pour qu'il me désire à en crever. Je tire la chaise du bureau, je m'assoie en face de lui. Ivan se redresse près à bondir un sourire lent se dessine sur mes lèvres.

J'écarte les jambes lui montrant bien ma chatte dissimulée derrière mon string, je me lève lui tourne le dos mes fesses sont bien bombées je les caresse en gémissant puis je m'assoie sur ses jambes. Les mains d'Ivan se posent sur mes cuisses et ses lèvres embrassent mon épaule. Sa bouche est si chaude...

Je ne me laisse pas avoir, je me déhanche lentement sur son sexe. Je l'entends grogner ça doit être douloureux. Je me rassoie sur la chaise, Ivan n'a pas l'air content, il fait mine de se lever je pose ma jambe droite sur son torse.

— Non...

Au lieu de s'énerver il embrasse ma jambe.

— Tu veux que je fasses ce que tu veux Erin c'est ça ?

J'ai la gorge rouillée face à son regard de prédateur, j'ai l'impression que c'est lui qui maîtrise la situation. Ivan dépose délicatement ma jambe et s'agenouille en face de moi. Avec ses mains brûlantes, il écarte mes jambes. Les yeux dans les yeux sa langue passe sur mon bas, il mord l'intérieur de ma cuisse.

Je suis en effervescence.

Ivan me fait assoit au bout de la chaise et sans attendre sa bouche se pose sur mon string . Je crie la tête en arrière et les mains dans ses cheveux noirs, quand je pense qu'il n'a même pas encore touché mon sexe. Je serre mes jambes quant il tire mon clitoris. J'en ai assez d'être torturer je veux juste que sa langue touche mon sexe humide.

— S'il te plaît vas y...
— Tu me supplies ou tu m'ordonnes ? Sois plus précise dans ton rôle Erin.

Je ne réponds pas, je ferme les yeux en essayant de calmer mes hormones. Putain ! Je ne savais pas que j'allais être aussi chaude et excitée. Je suis prise au piège par moi même. Je sursaute surprise quant Ivan embrasse mon sexe nu, mais à quel foutu moment il a écarté ma culotte ? Et merde ! Ce n'est pas ma priorité actuelle. Ivan lèche mon sexe avec beaucoup d'application. J'ai même les jambes qui en trembles. Dans l'euphorie, il me soulève en me positionnant dos à lui, il me cambre les mains sur la chaise et le cul vers lui, j'ai le cœur au bout de ma bouche, ma respiration s'accélère, il retire mon string lentement.

Je sens les lanières effleurées la peau de mes fesses sensibles puis il les frappe sur mon dos et mes fesses. Je gémis sous le coup. C'était bon, hyper bon même. Mon clitoris vibre. Ivan colle sa queue dissimulée derrière son pantalon entre mes fesses, je remue les fesses et il grogne.

— Putain t'es bonne bébé. Montre moi comment tu roules les fesses sur mon sexe.

Je recommence à s'écouer les fesses en m'étant plus d'ardeur cette fois. Ivan frappe l'une d'elles. Un instant il se sépare de moi puis lorsque qu'il revient, sa pine dur et chaude se loge au milieu de mes fesses, je me cambre immédiatement déjà prête à l'accueillir on a assez joué je veux qu'il me baise tout de suite.

Heureusement que Ivan n'est pas d'humeur a jouer, il s'introduit en moi millimètre par millimètre... ses coups ne tardent pas à devenir fougueux ce que j'aime au plus haut point, il tient fermement mes hanches et s'enfonce avec précision dans mon con. Je suis si humide que je ressens chaque coup. Ivan introduit son pouce dans mon anus et mes jambes ne tiennent plus, j'essaie de rester mobile mais c'est dur des milliers de papillons volent dans mon bas ventre.

Rapidement, je suis balancée sur le lit, Ivan met mes jambes sur ses épaules puis il s'introduit de nouveau en moi en me fixant.

— Oh oui... vas y plus fort... embrasse moi bébé.

Ivan se penche pour prendre ma bouche et notre baiser est salivé, fougueux et délicieux, mes ongles griffent son dos et saisissent ses fesses avec possessivité. Il grogne content il adore quand je fais ça.

Je retire mes seins du soutien en cuir, je pince mes tétons en criant de plus belle à chaque assaut que je reçois. Des étoiles oui c'est ce que je vois lorsque je jouis férocement. Ivan s'effondre sur moi en sueur. Son sperme coule de mon vagin.

— Je t'aime Erin. Je suis désolée, tu mérites tellement mieux qu'un connard dans mon genre.

Il embrasse mon nez en me tirant dans ses bras nous dormons l'un contre l'autre. Enfin nous essayons de dormir je crois qu'on a beaucoup de mois à rattraper et je ne suis pas prête d'oublier...