Chapitre 2

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🎶 : Ariana Grande sur Dangerous woman

Je suis couchée au bord de ma piscine dans un magnifique bikini blanc à siroté un mojito alcoolisé. C'est dans ces moments que j'aime ma vie. Je suis seule, sans bruits, seule avec mon âme et mon corps. Le vent me fait énormément de bien. Je suis heureuse et en paix. De petits moments certes, mais je les savoure. Un moment qui est vite interrompu par Anna. Mon téléphone sonne. Je sais que c'est elle. Elle est la seule qui possède mon numéro.

— Anna.
— Salut Babygirl. Tu as un rendez-vous ce matin.
— Tu plaisantes j'espère ?
— Si seulement ! Ils m'ont interrompu dans mes parties de jambes en l'air que j'appréciais. Il parait que tu as impressionné Antonovitch. Il te veut dans son bureau.

Je souris. J'ai cru qu'il allait m'oublier après ce que j'ai fait devant ses yeux avec son ami. J'ai reçu mon argent pour ce que j'ai fait mais arrivée chez moi, j'avais un goût d'inachevé. Je devais passer à autre chose alors je l'ai oublié. Je suis un peu surprise qu'il veuilles de moi. La somme qui m'a remis était hallucinante pour si peu. Moi et Anna, nous sommes sorties en boîte. Ne nous jugez pas, la vie est une pute elle même.

— Il m'a demandé, non il m'a carrément ordonné de te faire livrer des vêtements. Je t'en prie Erin ne joue pas avec lui et baise le. Sa voix est terriblement sexy, profite !

Nous éclatons de rire. Je ne lui promets rien et nous raccrochons. Qui peut nier d'avoir envie d'Ivan Antonovitch ? C'est juste qu'il est crispé. Il n'a pas l'air intéressé pourtant si. Je m'en fiche, je ferai comme lui. Le séduire sera mon but. Je ferme les yeux pour me reposer. Des minutes après, on sonne à ma porte. Je me lève lentement pour aller ouvrir. Je retire mes lunettes de soleil et attache mes cheveux.

— Erin ?
— Oui c'est moi.
— On... On m'a demandé de vous livrer ce colis.

Le livreur rougit en me voyant en bikini. C'est vrai que mon maillot est vraiment minuscule, il ne cache presque rien. Je prend le sac en le remerciant avant de claquer la porte. Dans le sac, il y a une jupe ultra moulante, courte, noire et un chemisier blanc très transparent. J'ouvre le mot qui est à l'intérieur du sac.

« Je veux que tes seins soient nus en dessous de cette chemise. Mon chauffeur viendra te chercher. »

Je remue la tête. Ce mec a un sérieux problème, il ordonne tout. Oh mais oui ! Je vais lui obéir, je vais sortir, ma poitrine offerte à la vue de tout le monde. Il est presque midi donc je vais prendre ma douche. J'attrape mes cheveux et mets mon rouge à lèvres. Devant mon immeuble, une voiture noire m'attend. Le chauffeur me salut brièvement, je lui souris avant de monter. Le trajet dure quelques minutes, on m'ouvre la portière. Je porte mes lunettes de soleil. Le hall de son entreprise est immense. Les gens courent dans tous le sens. Des milliardaires traversent le hall suivit par leur gardes. Certaines me lancent des regards en souriant. Des potentiels clients. Je leur rend leurs sourires. Je suis accueille par l'homme de main d'Ivan. Il me fait signe de la tête. Nous entrons dans l'ascenseur, je retire les lunettes pour les mettre dans mon sac. Dès que nous arrivons à l'étage souhaitée, une secrétaire me saute aussitôt dessus. Peut souriante, elle me demande de la suivre. Je lève les yeux au ciel. Elle m'attend devant une grande porte vitrée. Elle est dans la même tenue que moi mais sa chemise à elle n'est pas transparente. Je suis tout de suite accueillie par les yeux des hommes et femmes qui sont installés autour de la table en verre. Antonovitch a les doigts sur sa tempe, son regard perce le mien. Avec la lumière du jour, il est encore plus beau, il me scanne de la tête aux pieds. Je lui souris. Pas question qu'il me déstabilise encore. Nous nous dirigeons dans le fond de la salle.

— Lui à droite, c'est Monsieur Bardosky. Monsieur Antonovitch veut que le contrat soit signer dans les prochaines heures de la réunion. À toi de jouer ma jolie.

THE REAL BITCH I Où les histoires vivent. Découvrez maintenant