THE REAL BITCH I

Chapitre 10

🎶: Dojat Cat sur Street

Je tourne en rond dans mon appart, je suis surveillée h24 et je m'ennuie à en mourir. Je fais des photos sexy et provocantes pour Ivan, je les envoie sur son mail professionnel. Je sais très bien que ce n'est pas lui qui les lit. Qui osera publier mes photos ? Je souris. Je me serre un verre de champagne pour attendre sa réponse. Quelques minutes plus tard mon téléphone sonne.

— Erin. Tu as un souci avec ton corps ?
— Oui ! Je m'ennuie toute seule et j'ai envie de baiser. Ta queue me manque, j'ai la chatte mouillée, tu peux passer vérifier si tu veux.
— Je suis au boulot, on verra cela quand je rentrerai.
— Si tu ne rentres pas dans les prochaines minutes, crois-moi et tu sais très bien que je le ferai, je vais tellement baiser tes gardes qu'ils chialeront comme des gonzesses.

Je lui dis au revoir avec un baiser puis je raccroche. C'était audacieux, je le sais. J'aime jouer avec le feu, à quoi ça sert si je ne le pousse pas dans ses limites ? De toutes les façons, je n'ai rien à perdre. Pour l'attendre, je porte un string et retire mon soutien, j'attache mes cheveux en deux couettes. Je sublime ma bouche de rouge.
Paix sa son âme à cette pauvre Erin !
Je sais mais ça me fait sourire. Je m'assoie sur mon pouffe qui fait face à la porte d'entrée, une cigarette en main. Une quarantaine de minutes plus tard, j'entends la clé de la porte tournée puis Ivan qui discute avec ses gardes en criant en Russe, je parie qu'il leur demande si j'ai fait quelque chose avec eux. La minute qui suit, il est en face de moi sans veste juste en chemise noire, les cheveux emmêlés, arrêté comme un dieu. Je lorgne son corps de la tête aux pieds. Quand je pense que je dévore cet homme magnifique. Mes yeux rencontrent les siens.

— T'es en retard... mais ce n'est pas grave.

Il ne me répond pas, il jette simplement sa veste à terre puis il retire sa chemise, sa ceinture et défait son bouton de pantalon sans l'enlever. Divin. Je croise les jambes et tire sur ma cigarette. Je la dépose dans le cendrier. Je me mets lentement à genoux et comme une féline, j'avance vers lui dans cette position. Lorsque j'atteins son niveau, je retire sa queue de sa cachette. Un dernier regard, et je la fais disparaître entre les lèvres. Son soupire de satisfaction est ma récompense, je n'ai jamais adoré sucer quelqu'un que lui. Je mords son abdomen puis je monte vers son visage et nous nous embrassons avec passion. Sa bouche m'a terriblement manqué. Nos langues se rencontrent et c'est un feu d'artifice, tout s'enchaîne à une telle vitesse. Je suis déposée brusquement sur la table à l'entrée. Ses lèvres entrent en contact avec ma nuque et il me mord, ce n'est pas une morsure d'amour, il m'a mordu fort, le plus étonnant est que j'ai adoré.

— Encore.

Je suis récompensée d'une autre morsure sur l'épaule. Mes tétons suivent le même sort, je rejette la tête en arrière quand mon corps tremble déjà. Sans plus tarder, Ivan me pénètre, je suis remplie d'une seule poussée. Ses coups sont brutaux, sauvages, précis et fougueux. Il me baise ça c'est sûr ! Je l'embrasse, ma main dans ses cheveux que je tire quand il me pince le téton. Je suis écartée tellement que j'ai mal aux cuisses, son sexe va loin dans mon vagin atteignant mon point G. Les mains sur son avant-bras, je jouis. Ivan ne compte pas me laisser aussi facilement. Il me pose à terre et me mets dos à lui, sa main sur ma nuque, il entre de nouveau en moi. Je suis tellement mouillée qu'il entre sans grande difficulté. Ses hanches robustes frappent mes fesses avec force, ce qui me fait crier de plaisir.

— OH PUTAIN ! OUI !

Je continue de hurler, les coups de reins d'Ivan ne faiblissent pas, bien au contraire, à chaque cri que je pousse, ils s'intensifient. Je suis prise en profondeur avec précision, il sait comment me fait monter aux cieux. Puis soudain, il n'est plus en moi, je sens sa langue sur mon anus, je me fige, les yeux submergés d'étoiles. Sa langue continue son exploit et trace, en laissant une trainée de salive, ma colonne vertébrale avec sa langue. Son gémissements de dominateur me remplit de joie.