- Encore vous ?
Je me retourne vers la voix qui m'interpelle.
Monsieur Bardella.
- Encore moi.
L'homme esquis un sourire en coin, ses yeux marron d'un foncé me scruter de la tête au pied. Je me sentais consumer.
- Je vous ramène ?
Après une longue minute de silence, je ne savais pas quoi faire. Je pense à ma famille, elle qui en attendait beaucoup de moi. Me voir ramener par un homme politique d'un autre parti et principalement opposé à mes enfin.. leurs idées ne serait pas un bon choix.
- Je vous en remercie mais je vais me débrouiller
- Allons, je ne vais pas laisser une si jolie jeune femme seule sur la trottoir.
L'homme ouvrit la portière de sa voiture avec un grand sourire.
Je lâche un soupir, c'est vrai qu'il commençait à se faire tard et je n'avais pas envie de payer un taxi ou même prendre le métro.
- Accordé mais je ne dirai rien.
- Seulement votre adresse.
Je lâche un petit rire en montant dans la voiture.
J'indique une adresse proche de la mienne pour que mes parents ne me voient pas. Je mis mes écouteurs en posant ma tête contre la vitre. L'homme pris place à mes côtés.
Pendant le trajet, je tourne la tête vers l"homme, plongé dans des documents, surlignant différent phrase, il semblait si concentré. Je ne peux m'empêcher de continuer de le fixer. Il était vraiment plaisant, un jeune homme comme lui avec temps de pression sur ses épaules et pourtant.
Ses yeux se relève vers moi.
- Quelque chose à rajouter ?
Je retire mes écouteurs, gênée de mettre perdu dans mes pensées.
- je me disais juste que vous aviez beaucoup de travail.
- Les gens ont beau me voir comme un gamin paresseux, je vous assure que l'idée est bien différente.
Je souris légèrement.
- Intéressant.
- Mais vous aussi Mme Maréchal. Vous avez beaucoup de responsabilité.
- C'est à dire ?
- Laissez tomber. Nous sommes arrivées.
Je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'il voulait bien dire par la. Je sortis de la voiture en remerciant le chauffeur et saluant Mr Bardella.
Jattend que la voiture parte, m'assurant qu'il ne me suit pas, je jette un coup d'œil autour de moi et me dirige chez moi.
Quand jouvre la porte ma mère était planter sur le palier.
- Enfin tu es la.
- Tu m'attendais ? Je t'avais dis que je ne savais pas quand je rentrerais.
- Tu peux m'expliquer avec qui tu étais.
- Pardon ?
-Qui était dans cette berline noir.
Aie
- Tu me fais suivre maintenant ?
Je sentis une douleur vive prenant toute ma joue, je pose ma main dessus, les yeux river vers le sol. Elle venait de me gifler.
- Tu ne sais pas ce que ton père et moi avons sacrifier pour que tu es ce poste, ce n'est pas pour que tu te devergonde, sinon tu sais ce qu'il t'attend.
Je restais planter la, comme une idiote.
- Très bien mère.
Je me dirige vers ma chambre. Une larme glisse sur le long de ma joue.
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5h15
Mon réveil sonne. Encore une nouvelle journée qui commence avec une boule au ventre, un peu comme une rentrée des classes bien trop stressante car le but n'est pas de ce faire des amies comme une petite fille aurait comme inquiétude mais plus de rendre fière sa famille.
Sur la route je repensais à hier. Il ne faut pas que je revois Mr Bardella, tous mes espoirs doivent se tourner vers Mr Attal et son parti. Avoir une place et monter en grade.
Je pousse la porte du bureau, une femme parfaitement coiffée, un tailleur bien trop repasser et des talons aiguillesparfaitement aiguisés se tenait derrière un bureau.
Jeanne.
- Vous êtes Iris ? Enchanté Jeanne. Nous avons à faire.
- Enchanté je-
Elle se lève, attrape son sac à main de luxe et se dirige vers la porte.
- nous n'avons pas le temps, réunion des ministres dans 5min, préparez de quoi écrire.
Ça commence bien..
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Chapitre 3, n'hésitez pas à me faire des retours, ça me plaît vraiment d'écrire cette romance et j'ai hâte que vous voyez la suite ☺️
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Secret Politique
FanfictionIris Maréchal, venant d'une grande famille influente au sein de la politique se retrouve secrétaire du Premier Ministre et intègre le Parti Présidentiel. Pourtant, un homme la tourmente depuis ses débuts, et malheureusement il est l'ennemi numéro...