Secret Politique

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Le bar dans lequel nous étions avec Sana étaient bondée, les rires et la musique résonne dans la pièce.

Nous étions entrain de boire deux verres de vin rouge. J'avais le sourire aux lèvres, la retrouver me faisait du bien. Cette fille me permettait de me concentrer sur l'essentiel.

- Alors raconte moi ta vie politique,
comment est notre chère Premier Ministre ?

- Lui est très sympa, il m'a confier un déplacement prévu mercredi, mais sa secrétaire principale, elle... on dirait ma mère.

Elle me tape l'épaule.

- sérieux ?! Pff je vais la remettre à sa place moi.

Je ris en la regardant, elle me sourit chaleureusement.

- ehhhhh sinon, il y a des hommes beau ?? Il faut que tu me présente.

Elle pose sa tête sur sa main en me fixant.

Je hausse un sourcil.

- Je n'ai pas vu d'homme qui on attirait mon attention, je t'avoue que en deux jours j'ai plus vu de document que d'être humain.

Elle rit à son tour. Puis je continue.

- enfin...

Elle ouvre les yeux en grand.

- comment ça enfin ?? Crache le morceau.

- Écoute, il vaut mieux pas que ça se sache.

- Wow tu t'es envoyer qui comme ça?

Je lui tape l'épaule et lui indique de ce pencher discrète pour que je puisse lui dire à l'oreille.

- Jordan Bardella m'a raccompagner chez moi.

Elle se lève de sa chaise brutale,

-PARDON

Les gens autour la regarde curieuse, je me sens gênée et baisse la tête en lui tapant le dos.

- Tait toi, excusez la elle a trop bu.

Je souris gênée au gens autour puis la fit rasseoir.

- Tu veux que toute la France sois au courant ou quoi?

- Mais c'est le scoop de l'année, il fait parti du clan LePen , l'ennemi numéro 1 de ton parti et de ta famille et toi tu me sors qu'il t'a ramené chez toi ?! Tu t'es taper ce type ?

-Mais non enfin ! Il m'a ramené après le bureau.

- Ta mère va te tuer et va me tuer en passant car elle en meurt d'envie...

Sana attrape mes épaules en me regardant droit dans les yeux.

- Iris, tu es super belle femme, je t'aime de tous mon cœur, mais ne t'approche pas de ce type, jamais.

Je la regarde droit dans les yeux. Son regard était rempli d'inquiétude. Je savais qu'elle ne voulait pas que je m'approche d'eux,  elle le savait que trop bien que si je faisais un pas de travers ma mère pourrait se mettre dans une colère noir. Malgré mes 26ans, elle avait toujours ce pouvoir sur moi.

- Tu te rend compte petite idiote, tu déshonore notre famille en faisant ça , ma seule fille.

Les bouts de verre traîner par terre, les fleurs étalées et piétiner. Je ne voyais que les talons de ma mère,  j'avais les mains et genoux écorcher, à terre, la suppliant de me pardonner.

- tu n'es qu'une petite traînée.

Je secoue la tête et regarde Sana d'un sourire rassurant.