Secret Politique

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Point de vu de Jordan

Ce jour là Iris ne m'avait rien dit. Elle s'était contenter de me répondre que c'était un accident qui lui était arrivée petite, une cicatrice d'une mauvaise chute. Pourtant quand je la regardais dans les yeux je sentais qu'elle me mentait. Cette fille gardait de lourd secret. Elle était rongeait de l'intérieur et je le sentais.

Une fois que j'avais découvert cette cicatrice je savais qu'elle s'était renfermer. Le retour sur le trajet était silencieux, totalement différent de l'aller. Une part de moi voulait m'arrêter et la supplier de me parler, qu'elle se libére mais comment pouvais je lui demander ça si moi même je gardais des secrets à son égard.

Nous ne pouvions malheureusement pas tous partager. Nous étions trop différent.

Les jours étaient passer. Je n'avais pas revu Iris, seulement quelque message par ci par là car la réalité nous avait rattraper, nous étions ennemi. Elle le savait et moi aussi mais je refusais. J'espère qu'une part d'elle me dise qu'elle était prête à partir avec moi. Mais voyons les choses en face, c'était interdit.

J'étais dans mon bureau, préparant mon futur débat avec Monsieur Attal lors de cette campagne. Nous travaillons d'arrache pied avec Marine Lepen. Nous devions gagner, peut importe ce que ça me coûterai, je gagnerai.

La porte s'ouvrit laissant entrait Marine.

- Tu ne devineras jamais ce que je viens d'apprendre.

Elle tenda son téléphone, me laissant découvrir ton visage en page d'un magazine. Un article ridicule qui disait que tu n'avais été qu'un pion, que tu n'avais pas ta place au parti présidentielle car ta famille avait payer une somme astronomique.

- Si la famille Maréchal est prêt à payer si chère pour un ridicule poste de secrétaire, image les secrets que renferme cette famille.

- ce n'est pas un scoop

Je souffle en regardant l'article.

- nous ne pouvons pas utiliser ça pour attaquer Gabriel Attal, tu le sais.

Elle s'arrête de sourire. Son air triomphant disparu laissant place à une expression intrigué.

- Tu n'as pas l'air dans ton assiette Jordan, tu es sur que tous vas bien ?

Je lui souris en hochant la tête.

- Tous vas bien je suis fatigué.

Elle aquiece avant de quitter mon bureau, une part d'elle avait raison, je n'allais pas bien. J'étais épuisée et la découverte de ta cicatrice cacher sûrement quelque chose mais quoi.

Mon téléphone se mit alors à vibrer. Je tourne la tête. Nolween, encore elle.

《On se voit ?》

Je me mis à taper sur mon téléphone assez agacé, pouvait elle me laisser tranquille un moment.

《 je suis occupé.》

La réponse ne mit pas à tarder.

《Crois moi tu devrais venir》

Je souffle en prenant mes affaires. Je lui répondis que j'arrivais. Je ne pouvais pas l'ignorer malheureusement, elle avait une place importante dans l'ombre et si je ne voulais pas être regner de mon propre parti il fallait que je fasse des compromis.

Une fois arriver devant chez elle, je toque à sa porte. Elle m'ouvrit en peignoir, un grand sourire au lèvre. Je souffle ne portant même pas attention à elle avant d'entrer dans son appartement.