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7h

Wow c'est donc ici ? C'est si grand.
Je ne savais pas où je devais allée.

- vous cherchez quelque chose ?

Une femme blonde, les cheveux super bien plaquée, un grand sourire se tenait devant moi.

- E-euh oui bonjour, j'ai rendez vous avec Monsieur Attal.

- Gabriel ? Il m'avait prévenu, suivez moi.

Je la suis dans les grands couloirs de l'assemblée, nous croisons plusieurs députés qui se saluer, c'était une ambiance surprenament calme et cordiale, moi qui mettais toujours fait une image de zoo de cette endroit de fou.

- c'est ici, vous pouvez attendre, c'est la salle de pause, vous êtes arrivez tôt, Gabriel n'est pas encore arrivé, il y aura de l'attente.

- Ça me dérange pas ! Je mettais avancer haha..

Faux

La femme quitta la salle, c'était une grande pièce, avec des canapés, tables, frigo rempli de différentes petit snack et d'eau.

Je m'assis sur un des canapés en me plongeant sur mon téléphone. C'est fou d'être ici quand même, devenir secrétaire du Premier Ministre. Même si je savais que ma vie allait ressemblait à ça, c'était surprenant d'y arriver.

- qu'est ce que ça me saoule sérieux, personne peut me foutre la paix ici.

Un voix masculine entra dans la salle puis claqua la porte derrière lui.

- je me repose ici, laissez moi 10min.

On entendait la voix d'un homme derrière la porte qui acquiesça.

Mon regard se tourne vers la voix en question. Je me retrouve nez à nez avec Jordan Bardella.

Je me redresse immédiatement.

- excusez moi monsieur, je vous laisse.

- Qui es tu ? Je ne vous avez jamais vu, une nouvelle député ?

Je le fixe longtemps sans savoir quoi trop dire. Ça faisait tellement bizarre de voir quelqu'un que vous aviez toujours vu derrière un écran, toujours souriant, bien apprêter, élégant sur lui. C'est devenu presque intimidant. Je n'arrive pas à produire un son de ma bouche, toujours le fixant droit dans les yeux.
Ses yeux marron foncé me fixait, comme une bête curieuse, il arque un sourcil.

- Vous ai je fais perdre votre langue ?

- E-euh.. Je m'appelle Iris.

Je tend alors ma main un peu tremblante. Qu'est ce que je me sentis pathétique à ce moment, je n'en rater pas une pour me foutre la honte comme une idiote. Mes joues devienne rouge.

La porte s'ouvre d'un coup, faisant apparaître le Premier Ministre.

- Monsieur Attal

Il eut un temps de silence dans la salle, les deux hommes se fixent mutuellement, leurs regards en disaient long. On sent comme une électricité dans la salle.

- Mme Maréchal veuillez me suivre

Je ne me fis pas prier, j'attrape mon sac à main, les mains encore tremblantes, je passe à côté de Mr Bardella manquant de trébucher.
Il m'attrape la taille pour m'empêcher de tomber.

Le contact de sa main sur ma taille me fit frissonner. Mon regard se tourne vers lui surprise, les joues rouge.

Il murmure

- Tu devrais faire attention à toi, Iris..

Je ne dis rien sur le moment, mes yeux s'ecarquille.

- E-excusez moi.

Je me redresse et me dirige vers la porte, Monsieur le Premier Ministre m'attendait dans le couloir.

-Allons dans un coin plus tranquille

- Bien Monsieur.

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J'étais donc assise dans un bureau avec le Premier Ministre,

- Je suis navré que cet homme vous ai importuné.

- Vous parlez de Monsieur Bardella ? Non il est apparu comme ça, nous n'avons pas vraiment discuter.

- Tant mieux, il ne mérite pas d'attention, c'est un homme arrogant prêt à tous pour réussir. En tant que secrétaire il faudra que vous fassiez attention à qui vous parlez, les différents parti ne doivent pas tenter de vous soutirer des informations.

- Bien Monsieur.

- Comme vous le savez je suis le Premier Ministre, j'aurai besoin de compter sur vous. Les déplacements, dîner, mon emploi du temps, mes discours.
Vous ne serez pas seule rassurer vous, Jeanne vous aidera.

- Jeanne monsieur ?

- Jeanne est ma principale secrétaire, elle vous aidera dans vos tâches.

- Très bien.

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20h.

J'attendais sur le bord de la rue, espérant attendant mon taxi, je n'avais pas la foi de marcher ou prendre le métro.
J'étais épuisée par cette journée, tous ce qu'il fallait que je signe comme document, ce que Monsieur Attal attendait de moi et cette fameuse Jeanne aussi..
Je savais que ça n'allait pas être de la tarte mais je ferais de mon mieux.

Je lâche un soupir, les yeux river sur le sol. Les derniers rayon du soleil éclairait mes talons fraîchement cirer.

- Encore vous ?

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Tadam le chapitre 2, j'espère que vous avez aimés ☺️

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