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Je suis désolé

C'était les seuls mots que j'avais réussir à prononcer en voyant Gabriel tenant son téléphone l'article en main.

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La télé raisonner en fond. J'étais assise me décomposant petit à petit devant les paroles des journalistes

Iris Maréchal, la grande et l'unique héritière de la famille Maréchal n'avait pourtant jamais fais parler d'elle au par avant.

Oui effectivement, on peut voir que pendant ses législatives il y a plusieurs rebondissement Monsieur Bondier. Je les trouve plutôt mignon ensemble, regardez celle où ils montent dans la voiture.

Et Madame Lemarchand, les deux tourtereaux auraient commencer leur idyle il y a plusieurs mois déjà, d'après notre source ce serait depuis le début des européennes.
Les avis se divise en deux, personne n'est d'accord. Certains le voient comme une trahison car rappelons le, c'est la secrétaire du Premier Ministre, direct opposant à Monsieur Bardella.

Effectivement, sachant que l'extrême droite n'a jamais réellement sympathiser avec la famille Maréchal on peut s'attendre un coup de tonnerre.

En tous cas, ce qui est sûr,  c'est que la famille Maréchal cache très bien leurs jeux.

La télé s'éteint. J'étais assise à la fixer, les écoutant parler pendant des heures sur mon idyle avec Jordan Bardella qui avait pris fin la nuit dernière. Les gens me traînait dans la boue, ils me haïssait. D'autres, me trouvait assortie à lui, que nous faisions un beau couple, nous étions les Roméo et Juliette de la politique.

Et pourtant.

- Tu ne devrais pas regarder de tels annerie. Les journalistes ne donne que leur opinion qui sont fausser selon la côte d'où ils sont.

Je redresse la tête vers Gabriel, j'étais assise sur son canapé, je n'avais pas manger et mes yeux devait être rouge après avoir autant pleurer.

Gabriel m'avait rassuré, une part de oui été surpris de l'apprendre et ce demander comment il n'avait pas pu une chose si évidente. Mais il ne m'en voulait pas, il voulait me préserver. Celui à qui il en voulait c'était Jordan, pour m'avoir utiliser comme un vulgaire pion sans prendre en compte mes émotions et mon ressentie.

Il s'assit à mes côtés du canapé me tendant une tasse de café bien chaude.

- promet moi de ne plus rien me cacher maintenant Iris.

Je hoche la tête timidement, j'avais honte de lui avoir fait ça, mais je lui avais jurer que lors de mon amourette avec Jordan je n'avais donner aucune information qui pourrait nuire la campagne de Gabriel avec son parti.

- Bien, j'ai eu la communication présidentielle.  Ils disent que nous sommes dans une situation un peu délicate, nous ne savons pas qui est leur informateur. Nous devons trouver la source du problème.

Je sentis un long silence ce crée dans la salle une fois qu'il m'annonce ça, comment allons nous faire, nous ne savons qui a eu ses photos. Je soupire en tripotant ma tasse de café nerveusement.

- mais il a bien une solution.

Je relève la tête. J'étais prête à tous pour mettre un terme à ce cirque médiatique et à sauver cette campagne. Je ne voulais plus que le nom de ma famille soit traîner dans la boue, et je voulais que Gabriel sois fière de moi.

- nous devons rencontrer Jordan Bardella, et nous mettre d'accord sur une version. Si vous racontez la même chose en disant que c'est des images sortant de leurs contextes et qu'il n'y a rien entre vous. Les journalistes n'auraient plus rien à raconter. Surtout si vous ne vous revoyez plus après.

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