Secret Politique

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- tu es Iris Maréchal n'est ce pas ?

Mon corps se fige à l'entente de mon nom. Elle me connaît ?

- Nolween Olivier enchanté. Je viens chercher des documents, désolé j'ai du te faire peur.

Elle tendit sa main fraîchement manucurer. Elle était habillé d'une longue robe noir, des talons aiguille qui pourrait vous traverser le pied si vous aviez le malheur de la croiser. Elle était parfaitement maquillé. Elle portait un rouge à lèvre rouge qui la rendait encore plus jolie. Ces cheveux était lâchée.

Je me baisse les yeux sur moi, je ne portais qu'un vieux jean, avec un t-shirt ample et mes cheveux était en queue de cheval attacher à la va vite. Je sentais comme une tache à côté d'elle. Mais qu'est ce qu'elle faisait à cette heure là dans cette tenue.

Elle me sourit, comme si elle lisait en moi.

- j'étais chez Monsieur Bardella, je crois que tu le connais, enfin en même temps ta famille connaît tous le monde du milieu.

Elle était avec Jordan, à cette heure ?

- je suis pressée, on m'attend excuse moi.

Elle tourne les talons, on pouvait les entendre résonner dans tous le couloir. Je restais planter la, la regardant s'éloigner bouche bée.

Elle était avec lui, cette nuit.

Mon cœur se serra, une douleur vive pris ma poitrine. Était ce pour cela qu'il ne m'avait pas envoyer de message depuis le dîner à Strasbourg. Je n'avais été qu'un amusement d'un week-ends à ses yeux.
Je fronce alors les sourcils. J'étais énervé de la situation.

Soudain quelqu'un posa sa main sur mon épaule. Je sursaute en me retournant. Gabriel se tenait devant moi l'air inquiet.

- est ce que tous vas bien ?

Je hoche la tête en lui souriant.

- je suis juste un peu fatigué, je me suis perdu dans mes pensées excuse moi.

- c'est à moi de te présenter mes excuses, je te surmène beaucoup ces derniers temps.

Il avait l'air triste en me disant ça. Je pose ma main sur son épaule en secouant la tête.

- je savais à quoi m'engager et honnêtement tu es une personne formidable Gabriel, tu t'implique énormément et je t'admire beaucoup tu sais. C'est toi qui te surmènes sans jamais rien attendre en retour, seulement le bonheur du pays et ça je trouve ça si sincère.

Il me sourit à l'entente de ses paroles. Gabriel ne recevait pas beaucoup de compliment, les seules étaient pour lui donner une tache suivante. Il était le plus jeune Premier Ministre mais les gens le traiter des fois comme un enfant.

Il me prit dans ses bras et je le serre contre moi. Je sentais qu'il avait besoin de réconfort.

- merci Iris, tu es une très belle personne.

Nous sourions.

- nous devrions rentrer, il se fait bien tard et la réception est demain, nous devons être en forme.
Surtout que tu reçois.

Je hoche la tête. La réception..

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Le lendemain je me trouvais devant mon grand miroir. Portant cette robe de soirée couleur émeraude. Ma mère l'avait fait choisir avec soin par ses conseillers.