Les jours avaient passé depuis et mercredi était enfin arrivé. Je n'avais pas revu Sana, elle m'avait jurer qu'elle m'avait bien ramener.
- Tu m'as appelée et je suis venue te chercher, tu étais allongée sur un banc avec une veste sur toi. Il n'y avait personne.
Ce n'était sûrement qu'un rêve, le fruit de l'alcool un peu trop fort, pourtant cette veste qui était sur la chaise de mon bureau depuis plusieurs jours me ramener toujours à me demander. Et si je n'avais pas rêvé.
Pourtant je ne vis qu'un homme, et je ne savais pas plus.
J'étais assise entrain de rassembler mes affaires, Jeanne m'avait donné plusieurs documents à étudier lors du déplacement, les différents organisations que nous devions préparer pour Mme Hayer. Les coordonnées de son secrétaire à elle.
Il fallait aussi que j'organise les différents lieu où le Premier Ministre devait se rendre.
Une fois ma valise fini, je me dirige vers mon ordinateur portable. J'ouvre mes mails, vérifiant qu'une confirmation n'était pas apparu au dernier moment.
Quand soudain je vis ce mail.
Sujet : ce n'est pas bien de fréquenté l'ennemi.
{Pièce jointe}
Mes yeux s'ecarquille quand je clique sur la pièce jointe. C'était moi, montant dans la voiture de Jordan Bardella, le soir où il m'avait ramener.
Un autre mail suivi
Sujet : l'histoire se répète ?
{Pièce jointe}
J'ouvre alors l'autre Pièce jointe et mon coeur manque de rater un battement. Comment est ce que c'est possible. Cette photo..
Je ressenti un coup de froid dans tous le corps. Comment cette photo pouvaient refaire surface après toutes ses années..
Non, impossible.
Je pris mon courage et me mit à taper sur mon ordinateur.
Sujet : qui êtes vous ?
- Iris ?! Qu'est ce que tu fais tu vas être en retard.
Ma mère entrain soudain dans ma chambre. Je ferme d'un coup mon ordinateur en la regardant.
- Excuse moi, je finissais les dernières préparatifs.
- Je n'en ai que faire de tes excuses, Monsieur Attal t'attend en bas. Ne le fait pas attendre.
Je réunie mes affaires et pris ma valise, avant que je ne puisse passer la porte de ma chambre, je sentis une pression autour de mon poignet.
Ma mère me serra fort le poignet.
Elle murmure.- Ose faire quoi que ce soit de travers et tu ne remettra plus jamais les pieds ici.
Je baisse la tête
- Bien.
Elle voulait montrer qu'elle avait de l'emprise sur moi, même à distance.
___
Elle descendit avec moi, saluant Mr Attal.
- Gabriel, très chère, ça fait longtemps.
- Mme Maréchal, c'est un vrai plaisir de vous revoir. Le président aimerait vous revoir pour un dîner avec votre mari très prochainement.
- Appel moi Isabelle voyons. Ce sera avec plaisir des que mon mari rentre de l'étranger nous serons ravi.
Elle affichait ce sourire qu'elle connaissait que trop bien, le sourire de la femme parfaitement respectable sans aucune tâche sur elle. Un mur si lisse et blanc.
Mr Attal se tourne vers moi.
Je mettais mise en retrait sans trop en dire.
- Allons y Iris.
- A très vite ma chérie.
Ma mère m'embrasse sur la joue, je me sentais écœurés par tant de mensonges.
Je lui souris, ce sourire que j'avais si bien appris et monte dans la voiture, saluant le chauffeur.
Monsieur Attal s'assit à mes côtés.
Je regarde ma maison et surtout ma mère s'éloignait depuis la fenêtre, mon angoisse commençait doucement à descendre. Je regarde à nouveau mes mails. La personne n'avait pas répondu.Il faut que personne ne le sache.
- D'ailleurs, je voudrais que tu m'appelle Gabriel, Monsieur Attal est bien trop formelle. Tu es comme un bras droit pour moi.
Je lève la tête et lui sourit.
- Très bien Gabriel.
- En plus nous n'avons pas tant d'écart comparer à certains.
Je ris.
- Effectivement, mais vous êtes bien plus haut placé que moi, le respect est de mise.
- c'est vrai que vu comme ça.
Il s'arrête un instant puis me regarde droit dans les yeux, un air inquiet.
- Tu m'avais l'air anxieuse tous à l'heure.
- Oh vous savez, le stresse des préparatifs et tous ça, mais ne t'inquiète pas je ne vous décevrai pas.
Je lui souris, essayant de le rassurer comme je pouvais. Cachant mon angoisse.
- Si tu as un problème n'hésite pas et surtout, ne te met pas la pression, ça ira. C'est beaucoup de travail mais tu vas réussir.
Je lui souris, c'était un homme bienveillant, il ne voulait que le bonheur de la France, il était le plus sincère de tous les hommes que j'avais rencontré.
C'est derniers joues avaient été éprouvant pour lui. Nous avions beaucoup à faire avec la campagne des européennes. C'était un sujet qu'il lui tenait beaucoup à cœur mais les statistiques ne se présentait pas si bien.
J'avais du aller lui acheter des médicaments contre le sommeil. Il était épuisé et continuer à garder le sourire. Toujours concentré sur ses objectifs. Je voulais être utile. Lui facilité la vie.
Gabriel me regarde en souriant puis regarde son telephone, un petit garçon et lui apparaissait en fond d'écran, il lâche alors un soupire.
- je n'ai pas vu mon petit frère depuis si longtemps, cela me manque. Depuis mon divorce je n'ai pas pu me poser réellement.
- si vous avez besoin je peux m'arranger pour faire venir votre petit frère, je m'en occuperai pendant les rendez vous.
Il sourit.
- ne te tracasse pas,
Il pose sa main sur ma tête comme un grand frère.
- tu te donne déjà bien assez à la tâche depuis ses derniers jours.
Je souris, c'était la première fois que je ressentai de la reconnaissance.
- je vais dormir.. excuse moi Iris.
Jacquiece en le regardant puis me plonge dans mon téléphone. J'envoie un message à Sana.
《 Sana il va falloir que tu m'aide.》
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Un stalkeur ? Mmh affaire à suivre 🫢
Merci infiniment de continuer à me lire 🥰
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Secret Politique
FanficIris Maréchal, venant d'une grande famille influente au sein de la politique se retrouve secrétaire du Premier Ministre et intègre le Parti Présidentiel. Pourtant, un homme la tourmente depuis ses débuts, et malheureusement il est l'ennemi numéro...